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Grands-parents paternels, oncles et tantes

Grands-parents maternels, oncles et tantes

Odilon Cliche 1899-1960

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  • le 11 février 1899 (samedi) à Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
  • Baptisé le 11 février 1899 (samedi) à Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
  • Mort le 24 décembre 1960 (samedi) à Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
  • Inhumé en 1960 à Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
  • 61 ans, 10 mois, 13 jours
  • Médecin, chirurgien, commerçant (pharmacie)
  • Consanguinité : 1,56 %

Mariage et enfantstree desc.

Chronologie Tree

(sans date) Naissance d’un enfant x x
11 février 1899 Naissance
Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
11 février 1899 Baptême
Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
27 juillet 1926 Acquisition
Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
Achat de la maison 219 rue Principale (aujourd'hui 705)
10 janvier 1928 Mariage avec Juliette Poulin 1908-1989
Sainte-Marie, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
Dispense de deux ban de mariage
16 mai 1935 Élection
Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
Élu maire par acclamation
30 novembre 1952 Jubilé d'Argent de vie conjugale avec Juliette Poulin 1908-1989
Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
Voir article du journal 'Le Guide' de St-Marie de Beauce qui relate l'évènement le jeudi 4 décembre 1952
1960 Inhumation
Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
24 décembre 1960 Décès
Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
7 décembre 1989 Décès de l’épouse Juliette Poulin 1908-1989 (81 ans)

Notes individuelles

Alcidius Odilon Cliche a pratiqué sa profession de 1925 à 1960. Quatrième enfant d'une famille de quinze dont les parents sont Wilfrid Cliche à Catoche et Ernestine Cloutier (12 frères et une unique sœur qui mourut en bas âge). À sept ans, il entreprend ses études primaires chez les Frères Maristes à Saint-Joseph et fut l'un des premiers écoliers à s'inscrire au Séminaire. À dix ans, il fait sa première communion. Il fréquente ensuite le collège de Lévis pour y poursuivre son cours classique. À l'âge de vingt ans, il choisit la médecine et s'inscrit au collège des Médecins de l'Université Laval à Québec. Ses préférences vont de la dissection à l'anatomie. Il est reçu médecin en 1924, à l'âge de 25 ans. Un poste lui est offert à l'Hôpital du Saint-Sacrement de Québec, mais son amour pour les gens et son attachement à la Beauce lui font choisir Saint-Joseph pour y pratiquer la médecine. Il y ouvre son premier cabinet en 1925. Le 10 janvier 1928, à l'église de Sainte-Marie, il épouse Juliette Poulin de Saint-Odilon. Ils effectuent leur voyage de noces à New York.

En 1933, il ouvre une pharmacie dans le bâtiment adjacent à son cabinet, chez Arthur Poulin, sous la bannière Rexall. Ce commerce devient rapidement un lieu de rencontre obligé après les célébrations à l'église localisée tout près. Plus tard il déménage son commerce plus loin sur l'avenue du Palais. Il y tient son cabinet (médecine et dentististerie) et laboratoire car Odilon fabrique aussi ses pilules, sirops et potions de toutes sortes. C'était alors son troisième déménagement et encore une fois la pharmacie est un lieu de rencontre populaire les dimanches matins, on y vend du tabac, du chocolat, des journaux et revues, parfums et bien entendu des médicaments. Le commerce est vendu au début des années 80. Entre temps, une fois par semaine, il se rendait avec ses confrères à l'Hôpital du Saint-Sacrement à Québec pour y étudier la cardiologie. En plus de ces spécialités, le docteur Cliche, comme tout médecin de campagne de cette époque, faisait aussi office de dentiste et d'optométriste. On estime qu'il a mis au monde près de 4000 beaucerons dont la plupart naissaient à la maison, seuls les accouchements les plus difficiles se faisant à l'hôpital.

Il contribua en 1957 à l'implantation du bureau de poste actuel situé sur l'avenue du Palais. De 1961 à 1984 sa résidence a logé la pouponnière privée Au Berceau Bleu qui accueille jusqu'à 25 bébés. Il est aussi médecin de la Croix-Rouge et est le premier dirigeant du district de la Beauce de 1936 à 1955. Comme la plupart des notables de l'époque, le docteur Cliche s'engage dans la vie politique active. Il devient organisateur du Parti Libéral dans la Beauce et occupe les fonctions de maire de Saint-Joseph (1935-36). Il se rend régulièrement à New York. Il fait trois fois la traversée de l'Atlantique, Montréal-Le Havre, chacune d'une durée d'une semaine. Le travail de médecin de campagne était alors une véritable vocation, car il se devait d'être disponible à toute heure du jour et de la nuit, tous les jours de la semaine. Son rôle ne se limitait pas à celui de soigneur et de guérisseur, mais aussi de psychologue, de confident et souvent même, de confesseur. Le docteur Cliche était aussi un homme de cœur et d'une grande générosité, s'assurant que les nécessiteux de la paroisse reçoivent, tous les jours, de la nourriture des agriculteurs de la région.

Le docteur Cliche était pourvu d'une très bonne constitution, mais les interminables heures de travail ont miné sa santé. Vers la fin de 1953, à l'âge de 54 ans, au retour d'une partie de hockey locale, il est victime de son premier infarctus. Ce n'est, heureusement, qu'une fausse alerte et il reprend son service assez rapidement. Un deuxième infarctus quelques années plus tard dégénère en angine de poitrine, ce qui n'empêche pas plusieurs de ses patients de venir le consulter alors qu'il était alité! Le 24 décembre 1960, le docteur Odilon Cliche, un des derniers vrais médecins de campagne, s'éteint paisiblement. Reconnu comme un précurseur dans le traitement des infarctus, il a également été considéré, au cours de ses 33 années de pratique, comme l'un des meilleurs médecins accoucheurs du district; on estime qu'il a mis au monde plus de 4,000 enfants.

Odilon Cliche et Juliette Poulin auront huit enfants mais cinq d'entre eux mourront en bas âge. A ce propos voir ce genogramme qui tente une explication du haut taux de mortalité dans la famille.

Références

  • Association des familles Cliche d'Amérique et de France : voir ce LIEN.
  • Ancêtres de Odilon Cliche jusqu'à la 12ième génération (~1730) tiré de la généalogie Genepoulin : voir [*ici*]
  • Photos : Juliette Poulin, Odilon Cliche et leurs enfants, 25e anniversaire de mariage
    description
  • Photos : Maison de Juliette et Odilon à St Joseph de Beauce, 705, avenue du Palais, construite entre 1877 et 1888. Le docteur Odilon Cliche acquiert cette maison en 1926 de Jules Vézina et y tiendra son cabinet jusqu’en 1937. De 1961 à 1984, la maison a logé la pouponnière privée Au Berceau Bleu.
  • Autres Photos Cliche : Album de photos y compris extraits de son Avis de Décès et du Jubilé de mariage du couple Genepoulin.


  • Confidences recueillies auprès de Isabelle Cliche par x x, à propos de son père Odilon. «... Papa aimait beaucoup sa médecine et pour oublier ses peines familiales se donna corps et âme a sa médecine. Tant qu’à maman pour oublier elle aussi se donna pour la petite enfance la St-Vincent-de Paul, la croix rouge et les popotes pour les pauvres du village dans ce temps la il y en avait beaucoup ont avait baptises un cartier de St-Joseph de St-sauveur ainsi que le trou des veuves (côte de la céramique) car c’est la qu’elles s’en allais vivre avec leur famille a la disparition du Père de famille. Papa soignait tous ses gens pour rien, il n’avait rien à manger et s’habiller. Papa demandait l’aide aux cultivateurs de faire leur part en fournissant la viande, le pain, les légumes le beurre au laitier le lait et au boulanger le pain et la farine. Papa pratiqua sa médecine 35 ans a St-Joseph...» - A lire ICI. Trois pages format PDF.
  • Suite - Confidences recueillies auprès de Isabelle Cliche par Simon Poulin . [revue et corrigé par moi]
Né en 1899 sur la 'terre des temps perdus', 4ième fils de Wilfrid (ou Will) Cliche et Ernestine Cloutier tout deux de Saint-Joseph. Odilon fit ses études primaires à la petite école et au collège de Saint-Joseph de là au collège de Lévis faire son cours classique et puis à l’université Laval de Québec pour étudier la médecine. Quatre ans plus tard il pratiqua sa médecine dans sa paroisse natale de St-Joseph en 1925, il fût médecin pendant 35 ans.
Son premier bureau, il l’ouvrit chez Adolphe Dostie au coin de la rue du Pont au-dessus du magasin général, aujourd’hui rue Martel et avenue du Palais, la maison est disparue. En 1926 sois le 27 juillet il acheta sa maison de l’avenue Principale no 219, aujourd’hui 705 Ave. Du Palais, pour en faire sa maison privée et son bureau de médecine.
Il se maria en 1928 le 10 janvier avec Juliette Poulin, fille de Linière Poulin, notre mère. Huit (8) enfants sont nés de cette union : Esther, Isabelle, les jumeaux Pierre et Huguette, Micheline, un prématuré de cinq mois et demi (garçon), Georges et la dernière, France-Louise. Cinq (5) sont décédés à bas âge. Autrefois il n’y avait pas de médicament pour soigner les bébés qui attrapait sois la coqueluche, des broncho-pneumonie ou la rougeole. Ça mourrait jeunes les enfants quand ils contractaient ces maladies contagieuses. Ces enfants parti si vite avaient beaucoup chagriné mes parents.
Papa aimait beaucoup sa médecine et pour oublier ses peines familiales se donna corps et âme à sa médecine. Tant qu’à maman pour oublier elle aussi se donna pour la petite enfance la St-Vincent-de Paul, la croix rouge et les 'popotes volantes' pour les pauvres du village. Dans ce temps la il y avait beaucoup de familles nécessiteuses, ont avait baptises un quartier de St-Joseph de 'St-sauveur' ainsi que le 'Trou des veuves' (côte de la céramique) car c’est là qu’elles s’en allaient vivre avec leur famille à la disparition du Père de famille. Papa soignait tous ces gens pour rien. Plusieurs n’avaient rien à manger et pour s’habiller. Papa demandait l’aide aux cultivateurs de faire leur part en fournissant la viande, le pain, les légumes le beurre au laitier le lait et au boulanger le pain et la farine.
Papa pratiqua sa médecine 35 ans a St-Joseph très souvent à St-Frédéric, St-Jules, St-Anges et St-Odilon. IL était reconnu pour être le meilleur accoucheur du district. En plus il excellait dans le soin à apporter aux malades frappés d’infarctus. Dans le traitement des infarctus il était reconnu comme un précurseur. Il étudiait beaucoup ses malades en plus d’être un bon "ramancheur" (pour les os), on le consultait souvent dans les cas de fractures des os, il a lui-même beaucoup ramancher aussi. Père avait une excellente santé mais le travail accablant et ingrat de médecin de campagne l’avait prématurément miné au cours de sa carrière médicale. Il avait pratiqué plus de 5 milles accouchements [NDLT : ce serait plutôt 4000] hiver comme été, jour et nuit, beau temps mauvais temps; comme tarif médical il prenait ce que les gens voulaient bien lui donner. On venait de partout lui demander des conseils sur la médecine et les jeunes médecins le considéraient comme un professeur et venaient souvent lui demander conseils. Il a fait des centaines d’accouchements sans être rémunéré et des milliers pour 5$.
Il fut maire de Saint-Joseph en 1936, mais comme le travail de la médecine lui demandait beaucoup de son temps il fut obligé de mettre de côté la mairie et la passer à un autre.
A St-Joseph il était très en demande à la Croix-rouge dont il fût le président pendant 25 ans. Il était chevalier de Colomb de 1ière 2ième 3ièmebet 4ième degrés et leur médecin pendant vingt ans.
Les partis politiques étaient intéressés par Odilon. Il fût un organisateur du parti libéral de 1936 a 1958. La politique pour papa c’était un passe temps, il parcourait la Beauce à tous les 4 ans - ont voulait l’avoir comme député a Ottawa et Québec. St-Laurent, Godbout et même Duplessis voulaient l’avoir comme ministre de la santé. Mais papa aimait mieux rester dans son patelin, faire sa médecine tranquille et de la politique a son goût. Il fût un grand Libéral toute sa vie. Il disait toujours "ça vaut pas grand-chose de changer"!
Quand l’hiver arrivait pour aller aux malades en dehors du village de St-Joseph, soit à St-Odilon, St-Jules etc. il n’hésitait pas a prendre son cheval ou sa voiture qu’il mettait à l’abri chez Mathias ou chez Odina Bourret la nuit comme le jour, a voyager à la belle étoile à travers les champs, ou bien il se faisait un chemin pour arriver plus vite chez le malade accompagné de Odina, les briques chaudes aux pieds et couvert de fourrures – ils partaient ainsi tous les deux à la belle étoile.
Au printemps quand l’eau montait et fermait les routes du bord de l’eau, c’était en chaloupe qu’il traversait l’autre côté avec son petit fanal a la main et 2 bons hommes habitués et pas peureux des glaces. Dans ce temps la maman en passait la nuit dans la fenêtre de la chambre pour voir traverser la chaloupe au travers les glaces en mouvement, toujours son petit fanal a la main, c’est comme ça qu’elle le reconnaissait.
Il avait fait sa médecine à l’université Laval de Québec. Il pratiqua 35 ans. Il mourut d’un infarctus à l’âge de 61 ans le 24 décembre 1960, le service funéraire fût tenu le 27 décembre. Odilon est enterré dans le lot familial au 2ième cimetière de St-Joseph.
Aujourd’hui 9 juillet 1998, moi Isabelle, Georges et Esther avons tourné la page. Nous avons vendu notre maison de l’avenue du Palais, notre grand château, comme on se plaisait à le dire et n’oublierons jamais, jamais ce qui restera secret entre nous trois.
Merci à papa et maman. Nous avons été si comblés et heureux tous les trois dans notre enfance et notre jeunesse que c’est rien de vous rendre hommage a vous deux. Merci
Esther Isabelle et Georges Cliche - Juillet 1998

p.s. Le premier bébé de St-Joseph qu’il a mis au monde en juillet 1925 est Paul-Émile Roy, il vit encore; le deuxième est Louis Doyon de St-Joseph et le troisième est Patrice Gagné de St-Jules


  • Confidences recueillies auprès de Nicolas Cliche
Il prenait peu de vacances mais les dernières années de sa vie il allait à Old Orchard, trois-quatre jours, pas plus que ça. Georges le conduisait, il était son chauffeur attitré, et prenait le volant de grosses voitures américaines puissantes qu’affectionnait Odilon. Celui-ci insistait pour que Georges aille vite, très vite, il aimait la vitesse. Quand on a pas beaucoup de temps pour des vacances, on veut s’y rendre rapidement... » - A lire ICI. Sept pages format PDF.
  • Mémoires personnelles (Richard Poulin)
J'ai demeuré presque deux ans chez tante Juliette et oncle Odilon pour y faire mes classes de 3e et une partie de 4e. Après le décès de mon père en 1959 la famille a quitté Saint-Joseph pour Shawinigan, en Mauricie, pour se rapprocher de la région natale de ma mère j'avais. A notre départ j'avais complété ma première année et fait ma première communion à Saint-Joseph. Ma deuxième année s'est déroulée à Shawinigan tout près de l'appartement où nous habitions (Couvent des soeurs sur la rue Hemlock). À ma troisième année, parce que c'était ma mère qui m'enseignait au Collège Immaculé-Conception et qu'elle ne le voulait pas, je suis allé en pension chez la tante Juliette (Odilon) à Saint-Joseph pour compléter l'année et j'y suis retourné pour ma quatrième année. C'était en 1960-1962. Au décès de l'oncle Odilon, le 24 décembre 1960, j'étais de retour à Shawinigan pour les vacances des fêtes. J'ai quand même conservé quelques souvenirs d'Odilon à cette époque, de Georges aux études à Québec et beaucoup d'Esther et d'Isabelle. Par la suite j'y suis retourné régulièrement pendant les vacances d'été.
Agrandir l'image.Odilon Cliche et Henri Poulin

D'Odilon je me rappelle vaguement de sa première pharmacie à Saint-Joseph, un local qui dans mes souvenirs avait davantage l'allure d'un restaurant avec son grand comptoir et ses bancs qui les dimanches après la messe se remplissait de monde, souvenir aussi d'une partie de pèche avec Odilon et mon père Henri sur un club dans les environ de Jackman (photo de ce voyage et d'autres dans l'album photos Genepoulin), mon père et Odilon était assez près l'un de l'autre à ce qu'on m'a dit. Je me rappelle l'avoir vu faire des médicaments, en l'occurrence des pilules, à l'arrière de sa pharmacie ou peut-être au sous-sol, d'une dent qu'il m'a arraché et d'une piqûre sur une fesse, de sa machine à rayon X dans son bureau de consultation à la pharmacie, sûrement cher payée, de visites qu'il faisait au petit local de 'timbres' de mon père, voisin de la pharmacie, avenue du Palais. Je vois encore son 'oeil de verre' tombé au fond du lavabo de la salle de bain à la maison, en fait une grosse lentille en forme d'une demie sphère qu'il mettait par-dessus son oeil gauche, il m'a fallu mes petits doigts pour aller la récupérer. Et puis, le 26 décembre 1958 au soir, ma mère le réclame à la maison, notre père Henri venait de s'effondrer sur le tapis du deuxième, foudroyé par un infarctus. Pendant au moins une heure il a essayé en vain de le ranimer avec d'autres parents venus à la rescousse . J'évoquerai mes souvenirs de chez tante Juliette sur la page de Juliette.

Sources

  • Personne : Musée Marius-Barbeau de Saint-Joseph, 21 mai au 17 septembre 2000 - Véritable médecin de campagne : Odilon Cliche..
  • Naissance, baptême : Extrait de baptème Odilon Cliche.
  • Famille : Title: Beauce, Dorchester & Frontenac Counties Catholic marriages 1625-1946 Author: Frere Eloi-Gerard Talbot Publication: ISBN: 1-58211-190-0 Quintin Publications (extracted by Tom Edworthy-Mpls, MN) Repository: Media: Book Page: v3-33.
  • Décès : Source familiale.
  • Élection : Journal Le Guide, St-Marie de Beauce. 17 mai 1935.
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Vital
Cliche

1837-1917
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Sophie
Lessard

1837-1918
image manquante
Étienne
Cloutier

1833-1911
image manquante
Marie-Élise
Lessard

1843

 

 






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Wilfrid
Cliche

1872-1942
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Ernestine
Cloutier

1874-
 



Fratrie tree

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