Origine du nom Poulain et l'ancêtre Claude Poulain

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[Ce texte est un complément d'information aux notes Claude Poulain 1616-1687 et Familles Poulin - Décembre 2019].

arbre origine
L'origine. Le nom Poulain était connu bien avant l’ordonnance de 1539, dite de Villiers-Cotterets, qui obligeait les prêtres en France à enregistrer les baptêmes. Selon Paul Lebel, on en trouve une trace écrite dès 1144 dans le Cartulaire général de Paris (584-1180) sous la forme latine de Pullanus. En fait, le plus lointain personnage connu serait Hervé Poulin, voici ce qu’écrit à son sujet Le Moyne de la Borderie dans son histoire de Bretagne (Tome III, p. 116): « En 1034, après la mort de leur mère Havoise, ses fils, le duc Alain III et Eudon, donnèrent pour le salut de son âme, à l’Abbaye de Saint-Georges de Rennes, la paroisse de Pleubihan près Tréguer qui était la propriété, le domaine propre de la défunte duchesse. Il y avait là un famulus ou fermier appelé Gurdifen qui, vu l’éloignement de la propriétaire et sa qualité de souveraine, en prenait à son aise avec la propriété et se conduisait tout à fait comme s’il l’eut possédé à titre héréditaire. L’abbesse de St-Georges, choquée de ces prétentions et voulant maintenir son droit, lui signifia qu’elle ne lui accorderait jamais l’hérédité de la ferme. Gurdifen, indigné, se vengea en dévastant les biens du prieuré de Pleubihan. L’abbesse Adèle le fit prendre et détenir en prison un an dans le château d’un de ses vassaux appelé Hervé Poulain. Celui-ci serait donc le personnage le plus anciennement connu de la famille Poulin. (Cartulaire de St-Georges de Rennes, page 122 ) ». D'autre part Dauzat (?) dira que les patronymes Poulin, Poullin, Poulain et Poullain signifient «un homme vif, rapide comme un jeune poulain Poulain» (note: source de cette citation inconnue).

croisades
Les Croisades. Par ailleurs, Grousset, dans son livre intitulé "Les Croisades" nous rapporte les faits suivants: lors de la deuxième croisade en 1095, des chevaliers français allèrent combattre en Orient pour la délivrance du St-Sépulcre et pour la délivrance des chrétiens opprimés par l’Islam; plusieurs de ces chevaliers contractèrent mariage avec des filles du pays d’Acre en Syrie et leurs enfants furent désignés sous le nom de Poulain ou polain par un groupe de Francs qui refusèrent de reconnaître comme Francs ces métis. L’attribution du nom de Poulain donné à ces enfants nés de Syriennes plonge les anthroponymistes dans une énigme insoluble selon Paul Lebel. Quoiqu’il en soit, ce nom Poulain finit par désigner tous les colons francs de Terre-Sainte (Grousset p. 26). Dans "La vie de St-Louis", sire de Joinville, sénéchal de Champagne (1224-1317), ne dit-il pas: « On m’appelait Poulain pour ce que j’avais conseillé au Roy sa demeurée avec les "poulains"». Joinville voulait ainsi dissuader le roi de rentrer en France. Selon le Larousse, les Poulains désignent une population formée dans les États Latins du croisement des Européens et des femmes syriennes et arméniennes chrétiennes.

Les premiers. Le premier Poulin à venir en Nouvelle-France était un jeune prêtre récollet nommé Guillaume. Après son arrivé au Canada en Juin 1619, il prend en charge de la mission à Trois-Rivières. Il a été capturé par les Iroquois près de la tombe de Saint-Louis en 1622. Il était attaché à un poteau de torture lorsqu’il fût échangé pour certains prisonniers iroquois. Libéré, le père a poursuivi son parcours sacerdotal comme si rien ne s'était passé.

D’autres portant le même nom de famille sont venus, mais ils n'ont laissé aucune descendance: Jean Poulin, époux d'Anne Robin, se sont installés à Rimouski vers 1690; Jacques Poulin a épousé Marie-Thérèse Marchand le 23 Novembre, 1739, il était un citoyen de Pointe-Lévy; Joseph Poulin était un oiseau de passage; Philippe Poulin a épousé Marguerite Bluteau de Cap-Saint-Ignace le 17 Juillet 1742; Michel Poulin, d'origine inconnue (selon Trudel), arrivé en 1656 et dont la première mention remonte à un bail signé le 29-06-1656 en tant que menuisier à partir de 1657 et engagé le 24-07-1657 Québec comme sacristain, une dernière mention le désigne comme témoin le 19-08-1658, il sait signer son nom, il sera probablement repassé en France en 1658. (CI : 346)

Les premiers Poulin ayant eu une progéniture en terre de la Nouvelle-France sont:

Une quarantaine d'ancêtres canadiens étaient natifs de Rouen; venant, de Saint-Maclou, en particulier, René Lavoie, Étienne Léveillé, Louis Lefebvre dit Batanville et Pierre Boivin.


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Claude Poulain. Claude Poulin arrive au Canada le 16 juin 1636 sur le vaisseau du sieur Courpon. Voici ce que dit "La Relation" des Jésuites à ce sujet: " Dans l'après midi du même jour (un autre vaisseau étant arrivé portant le gouverneur Montmagny) on vit paraître sur le fleuve un autre vaisseau ; ce vaisseau du sieur Courpon (voir référence 6) portait plusieurs nouvelles familles qui venaient grossir la colonie. C'était un sujet où il y avait à louer Dieu, de voir en ces contrées des demoiselles fort délicates, des petits enfants tendrelets sortir d'une prison de bois comme le jour sort des ténèbres de la nuit, de jouir, après de si longs mois de traversée, d'une aussi douce santé, nonobstant toutes les incommodités qu'on reçoit dans ces maisons flottantes, comme si on s'était promené au cours dans un carrosse." Selon le Père L. jeune, ce vaisseau du sieur Courpon portait Etienne Racine, Robert Caron et Claude Poulin qui furent parmi les premiers colons de la côte de Beaupré. Claude fût qualifié d’interprète lors d’un parrainage en 05-03-1639 (?)

Claude épouse Jeanne Mercier, . le 8 août 1639 dans la chapelle Notre-Dame-de-la-Recouvrance à Québec. Voici l'extrait de mariage de Claude Poulin: « Le 8 août 1639, les bans ordinaires étant faits, et ne s'étant trouvé aucun légitime empêchement, le Père Nicolas Adam, de la Compagnie de Jésus, faisant fonction de curé d, Québec, a solennellement marié et conjoint en le lieu du saint mariage, Claude Poulin et Jeanne Mercier, après les avoir interrogés, entendus et reçu leur mutuel consentement.» Les témoins qui on signé dans les registres furent Guillaume Boivin, donné des jésuites, aussi connu comme un "frère gris", originaire de Rouen en Normandie. et le chirurgien Robert Giffard, seigneur de Beauport. Celui-ci a servi de témoin à la plupart des mariages des premiers colons à Québec.

Jeanne Mercier, née à Orne ou Mortagne au Perche, le 25 novembre 1621, Jeanne est décédée à Ste-Anne de Beaupré, le 14 décembre 1687. Son père était Jean Mercier, né en France vers 1592. Le 25 juin 1611, il avait épousé Jeanne Gaillard, née vers 1597. De ce mariage sont nées Denise et Jeanne Mercier. (Selon d'autres sources, Jeanne Mercier serait la fille de François Mercier et de Roberte Cornilleau de Tourouvre, au Perche. "Loup Mercier et Jeanne Gaillard, mariés le 25ième jour de septembre 1611 (?). De ce mariage sont nés plusieurs enfants, dont Jeanne, le 25 novembre 1621 et baptisée par la sage femme ; elle fut baptisée solennellement à Mortagne en 1622, parrain, Pierre Rouchère, marraine, Anne Laprou. Denise Mercier avait épousé François Baugis vers 1637 aux Sables d'Olonne, en Vendée du Poitou.

Charpentier de métier à son arrivée en Nouvelle-France, Claude Poulin s'établit effectivement à Trois-Rivières comme charpentier. Il y fait baptiser un enfant, Marie, le 1er janvier 1641. Le parrain, Jacques Hertel de la Fresnière, était le propriétaire de deux cents arpents de terre à cet endroit depuis le 16 décembre 1633, la marraine, Marie Leneuf, épouse de Jean Godefroy de Linctot, qui était un seigneur, depuis le premier Décembre 1637. Claude Poulin, connu du jésuite Joseph Poncet, a été demandé pour être le parrain de la petite amérindienne, Rose Quenebechimouxour, le 14 Janvier 1641.

Vers 1644, il retourne en France avec sa femme. il y fait baptiser un fils Paschal le 15 février 1645 et une fille Madeleine en 1646 comme en font foi les registres de la paroisse St-Maclou. Le 17 avril 1646, à Paris, Olivier Tardif passa deux actes en présence des notaires Le Vasseur et Morel au châtelet de Paris par lesquelles il concède à Claude Poulin et Robert Drouin, des terres de six arpents de front chacune dans la Seigneurie de Beaupré. Ces actes sont connus par les inventaires de Martin Poulin et de Étienne Drouin faits par acte notarié. Il revient au Canada vers 1647. Il est d'abord fermier pour le seigneur de Cap-Tourmente puis en 1651, il fait l'acquisition d'une terre dans les environs de l'actuelle basilique de Sainte-Anne de Beaupré. L'acte de vente par la fabrique de Québec à Claude Poulin mentionne (intégralement):

«Furent presents en leurs personnes honorables et discrettes personnes Les Curé et Marguillers de Leglise parochialle de Quebecq. Lesquels pour ne pas laissé deperir et sans profit Les fonds dont le Conseil de ce pais au nom de La communauté des habitans d'iceluy a faict don a La ditte eglise parochialle pour toujours. Ont volontairement Recognus et confessé avoir vendu ceddé quitté et transporté et promis garantir de ses faicts seulement A Claude Poulain habitant demeurant en ce pais present preneur pour luy ses hoirs et ayants cause Une concession de terre seize auprès du petit Cap en la coste de Beaupré borné ainsy quil en suict scavoir est dung costé du Nord est par une ligne quy court Nord oest et sud est Laquelle ligne faict la separation de la dite concession et les terres de Estienne de Lessart dautre costé au sudoest joignant les terres non concédées appartenants a Messrs de La Compagnie dud. Beaupré dung bout au sud est Le Grand fleuve St. Laurent dautre bout au Nord est les terres non concédées avec toults ung chacun les bastiments terres desfrichées et bois abbatus que aultres Le tout ainsy quelles se comporte a present sans en rien reserver ou retenir Icelle Concession appartenant par cy devant à Julien Perault et vendues par led. Perault au Sr. Jehan Bourdon cy devant Comis et procureur de La communaulté ainsy quil apert par le contract de vente faict soubs seing privé avec led. Sr. Bourdon Le vingtiesme doctobre Mil six cent quarante huict Iceluy mis es mains dud. Poulain Cette vente faicte par Lesd. Srs. Curé et Marguillers de Lad. eglise parochialle de Quebecq aud. Claude Poulain à Condition de payer par led. Poulain toutes charges redebvances et droicts Seigneuriaulx dont icelle terre se trouvent estre chargées envers Les Seigneurs comme aussy de payer Aud. Sr. Curé et Marguillers La somme de Cinquante Livres tournois Icelle somme de Cinquante Livres tournois payable en Ung payement et ce pour une fois seulement quy est le total de Lachapt dicelle. Laquelle somme de cinquante livres tournois Led. Poulain a baillé Icelle a Recevoir auls Srs. Curé et Marguillers sur Pierre Gaignon habitant demeurant en la dite coste de Beaupré Laquelle ils ont acceptée Recepvoir sur Icelluy Gaignon deponant effet en descharge dès presentement par vertu de la dite Cession et Transport. Led. Poulain et le tient quitte luy et touls autres quil apartiendra a Ladvenir de la ditte somme de Cinquante livres tournois. Ce fust faict et passé au fort de St. Louis de Quebecq le premier jour de septembre mil six cent cinquante et ung en presence de Flour Boujonnier et Martin Montet tesmoings lesquels ont signé Le jour et an que dessus avecq Lesd. Srs. Curé et Marguillers.»
Fait devant Dailleboust Paul Ragueneau P. Lahait et Ch. Sevestre Boujonnier Audouart, Notaire

Nous savons que Marie Couillard, fille de Guillaume, était la marraine de Martin Poulin à Québec le 17 Octobre, 1648. Quant à Martin Grouvel, le parrain, il était maître charpentier de navire.

Le premier pionnier du territoire de Sainte-Anne était Julien Pecault. Sa propriété a été transférée à la Fabrique de Québec. L'église de Sainte-Anne serait construit sur cette terre, qui est devenu la propriété Poulin. Etienne Lessard a aussi contribué d’une grande partie de sa concession à l'église.

Le 8 Novembre 1650, Olivier Letardif, procureur général de la Compagnie de Beaupré, afferma à Claude Poulin et Abel Benoit l’habitation de "Toussaincts" pour six ans, commençant le 11 novembre 1650. Cette dernière était une métairie voisine de l’habitation de Saint-Charles à St-Joachim.

La terre ancestrale. Le premier septembre 1651, Letardif a accordée des concessions à vingt habitants, dont une à Claude Poulin, Cette terre, avec six arpents de front(env. 351 m.) sur une lieue et demie (env. 7367 m.) de profondeur, était situé à l'ouest de celle d'Etienne Lessard. Jean Bourdon l’avait acquis de Julien Pécaut le 20 Octobre, 1648 et il l’a cédé, dans un acte sous seing privé à la Fabrique Notre-Dame de Québec. La propriété avait "des bâtiments, terres défrichées et dégagé de bois». Claude l’a payé cinquante livres dans les mains de Pierre Gagnon pour la Fabrique. Le contrat a été signé, au fort Saint-Louis, à Québec. La famille Poulin s'installe ensuite à cet endroit qui allait devenir Sainte-Anne-du-Petit-Cap, puis beaucoup plus tard, Sainte-Anne-de Beaupré. - aujourd’hui, au 315, Côte Ste-Anne, terre No 92, est connu comme la terre ancestrale de Claude Poulin (voir le lotissement sur cette page complémentaire Claude Poulain).

Les premiers actes. Les premiers actes faits à Ste-Anne de Beaupré, appelée dès le début de la fondation de la paroisse Ste-Anne du Nord, datent de 1659, année de la construction de la première chapelle : mais de 1662 à 1666, inclusivement, les actes des Registres de l’État Civil se trouvent dans les registres de Château-Richer. Claude est confirmé le 2 février 1660 à Château-Richer. Il est charpentier en 1666 à Beaupré.

Claude fût le parrain du premier enfant baptisé et enregistré dans le registre de Sainte-Anne, soit Claude Pelletier, qui devint le Frère Didace, récollet. il était le fils de George. En 1661, le chef de la famille a donné seize livres pour l'église, d'une valeur de seize jours de travail, un cadeau royal à cette époque. Entre 1662 et 1666, l'ancêtre Claude Poulin a donné à la fabrique la somme de huit livres, sept minots de blé, un minot de pois, un de maïs (1 minot = 3 boisseaux). D'autre part, en 1663, il a reçu vingt-deux livres et neuf sols pour "le parchemin sur la porte de l'église et d'un morceau de bois et une pinte d'eau-de-vie". Claude Poulin et Jeanne Mercier sont durement éprouvés au printemps de 1661, deux de leurs fils, Pascal, 16 ans, et René, 10 ans sont capturés par les Iroquois. On ne sait pas ce qu'ils sont devenus mais on ne les reverra jamais. Ainsi que Louis Guimond et Louis Gagné tous disparu mystérieusement. Au Journal des Jésuites de Juin 1661: «Les nouvelles de celui-ci a été porté le 18, pendant la nuit, par le retour de l'équipage susmentionnés et à l'époque que de Trois-Rivières, où l'ennemi avait tué trois les hommes du Cap. Et que, des deux enfants de Cl. Poulin perdu dans les bois ou pris par les Iroquois ».

Le 7 Juin 1665, Claude Poulin a cédé à Abel Benoit sept perches de façade en terre basse et deux arpents dans les hautes terres. Le recensement de 1666, indique que Claude Poulin était charpentier. Le recensement de 1667 nous dit qu'il avait huit têtes de bétail et vingt arpents de terre en culture. Robert Foubert et Urbain Jamineau, voisin de Elie Godin, ont été ses voisins. Pierre Poulin, Marguerite Poulin, Martin Poulin, Madeleine Poulin, Marie Poulin, Ignace Poulin, Jeanne Mercier et Claude Poulin vivent en 1666 à Beaupré, Montmorency,

Selon le recensement général fait au pays en 1667, les recenseurs font sur son foyer l'originale description que voici : «Claude Poulin, 52, Jeanne Meteyer (Mercier) sa femme, 40; Martin, 19, Ignace 12, Marguerite 9, Marie 7, Pierre 3; 8 bestiaux, 30 arpents de valeur». Claude a obtenu des revenus supplémentaires en mettant ses talents de menuisier a profit. En 1678, il a travaillé à renforcer le clocher de l'église. En 1679, Mme Poulin a fourni des vivres à des couvreurs de l'église, le pasteur payé par trois minots de blé et douze livres de beurre. Pierre Poulin, Martin Poulin, Ignace Poulin, Jeanne Mercier et Claude Poulin vivent en 1681 à la seigneurie de Beaupré, Montmorency Il sera un temps marguiller de Sainte-Anne-de-Beaupré. En 1665 et 1666 avec Robert paré.

Claude Poulin a eu neuf enfants : Marie (1641), Pascal (1645), Madeleine (1646), Martin (1648), René (1652), Ignace (1656), Marguerite (1658), Marie (1661), Pierre (1664). Pascal et René sont disparus dans les bois le 8 août 1661, probablement enlevés par les Iroquois. Claude Poulin est mort le 17 décembre 1687 à Sainte-Anne de Beaupré à l'âge de 71 ans. Son acte de sépulture paraît dans les registres à la date du 19 décembre 1687. Sa femme Jeanne Mercier décédée depuis quelques jours avait été inhumée le 14 décembre 1687. Leur décès à quelques jours d'intervalle s'explique par le fait que tous deux sont morts de la rougeole alors que sévissait une épidémie de cette maladie dans toute la colonie. Charles Monmainier et Étienne Lessart ont signé avec le prêtre Morin. Les enfants ont donné 72 livres à l'église «pour l'enterrement et les services de Claude Poulin et Jeanne Mercier".

Les enfants de Claude Poulin et de Jeanne Mercier.

Claude et Jeanne avaient 312 descendants le 31 déc 1729. En 1986 les progénitures de Claude comptent plus de 3000 familles, celle de Maurice 80, et celle de Jean quelques centaines.


Sources et notes

Variations du nom Poulin

LES SURNOMS EN BEAUCE. Les Gé pour Léger, les Trol pour Féréol, les Lazi pour Isaie, les Gabins, les Castors, les Poulin-cap, les Tetan, les Bourdette, les petits-Bourdette, les Pierrot pour Pierre, les Catiche, les Jack, les Péquon, les Bram pour Abraham, les Gem pour Eugène…

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1 LIEUE NAUTIQUE = 5556 MÈTRES
1 LIEUE FRANÇAISE = 4 911.5899 MÈTRES
1 ARPENT = 58.4713 MÈTRES
1 PERCHE FRANÇAISE = 5.8471 MÈTRES
1 TOISE = 1.9490 MÈTRE
1 PIED DE PARIS = 0.3248 MÈTRE - LE PIED ANGLAIS VAUT 0.3048 MÈTRE
1 POUCE FRANÇAIS= 0.0271 MÈTRE - LE POUCE ANGLAIS VAUT 0.0254 MÈTRE
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