Home / Tag Fonds Garneau 84
- 1877 ND
Victorine Bergeron vers 1877 - ND pour la date et la personne missing picture id. - 1877 ND
A valider - 1884 ND Garneau
1884 devant le Palais de Justice, les petites soeurs Antonia (2 ans) et Albertine Garneau (4 ans) avec leurs parents Georges Garneau (sellier sur la rue Martel) et Angelina Cliche. Certainement une marche du dimanche au soleil d'avant-midi. - 1890 ND Cabane-sucre
- 1891 Couvent des soeurs de la Charité
Le couvent des Soeurs de la Charité en 1891 - et suit un texte extrait d'un pamphlet imprimé lors du Jubilé d'or du Couvent le 9 juillet 1925. L'Institut des Soeurs de la Charité,. fondé à Montréal, par la Vénérable Mère d'Youville, voulait, depuis 1849, s'étendre et fructifier un de ses rameaux transplanté dans la ville de Québec. En 1875, sur les instances du Révérend L.A. Martel, curé de St-Joseph de la Beauce, et de ses paroissiens, la nouvelle maison-mère accepta la fondation d'un couvent dans cette florissante région. L'oeuvre fut d'organisation facile, car les paroissiens de St-Joseph, depuis longtemps désireux de posséder une maison d'éducation dans leur paroisse, et entraînés par les exemples de charité de leur pasteur dévoué, s'étaient chargés de payer tous les frais de la construction; générosité qui assure à la paroisse entière une bien vive reconnaissance de la part des nouvelles missionnaires. Douze années de prospérité s'étaient écoulées, lorsque vint le jour de l'épreuve. Le 31 août 1887, un incendie éclata, en quelques heures, du Couvent et de ses dépendances, il ne restait que des ruines! Devant un pareil désastre, loin de se laisser abattre, les vaillantes ouvrières, confiantes dans la Providence se remirent à leur tâche. Elles firent tant et si bien que dans la même semaine, une centaine d'élèves étaient installées dans une école provisoire en attendant qu'on pût leur donner un local plus confortable. L'année suivante les écolières prenaient possession de leur nouveau couvent, superbe construction qui fait l'orgueil de la paroisse. Ainsi, depuis un demi-siècle, dé nombreuses générations de jeunes filles, se sont succédées dans cette maison où elles reçoivent une éducation soignée, tant sous le rapport religieux et intellectuel, que sous le rapport familial et domestique; double formation, qui grandissant les vertus morales de la jeune fille, la prépare aux devoirs de l'avenir. Pour la Soeur de Charité, le champ d'apostolat n'est jamais trop vaste, surtout s'il s'agit de pauvres à soulager, d'orphelins à consoler, En 1908, tout à côté du Pensionnat, s'ouvrait un refuge pour ces chers enfants, privés sitôt des joies de la famille. L'Orphelinat peut en abriter une soixantaine et le chiffre est ordinairement au complet. Comme le Couvent, cette maison est pourvue d'un système de chauffage, d'éclairage, d'un service d'eau, etc. des plus moderne. De combien d'attentions délicates, de dévouements affectueux, ces chers enfants ne sont-ils pas l'objet! Avec le bienfait de l'instruction, ils reçoivent des leçons de travaux manuels etc. On initie les petites filles à la couture, à la tenue d'une maison, etc. leçons qui leur seront une aide bien précieuse le jour où elles seront obligées de quitter leur Orphelinat. Terminons cette courte étude sur les oeuvres des Soeurs de la Charité à St-Joseph de la Beauce, par _ quelques statistiques. Depuis 1875, près dé 2000 élèves ont été admises au Couvent, comme pensionnaires ou qüart-pensionnaires; 500 en qualité d'externes. Au delà de 500 jeunes filles ont obtenu leur brevet d'enseignement; de ce nombre, 149 se sont consacrées à Dieu dans la vie religieuse. L'Orphelinat a recueilli, depuis sa fondation, 618 enfants pauvres ou orphelins. NOMS DES RELIGIEUSES DE LA PAROISSE depuis la fondation du Couvent 1875 (de 1875 à 1925) Les Religieuses dont les noms sont précédés d'un (*) sont décédées; Sont entrées chez les R.R. SOEURS DE LA CHARITÉ *Caroline Mercier S.S. Amable *Sara Doyen S.S. Ambroise *Rose Pépin S.S. Thurbide Aux. *Léda Mercier S.S. Séraphine Marie Poulin S.S. Odile Rosalie Cliche S.S. Vital Lucia Deschênes S.S. Lazare (et suivent tous les noms des élèves) - 1895 ND Famille Doran
1895 ND Famille Doran. La famille Doran en 1894 devant leur maison. De gauche à droite: Patrick, Julie, Philomène Jacques, Daniel père (avocat) et Daniel fils. Daniel Doran serait né en 1842 à Falmouth, en Irlande. Il fut un des nombreux orphelins que la famine et le typhus jetèrent sur nos bords. Il fut adopté et protégé par M. Pierre Noël, de Lotbinière. Admis au barreau le 2 octobre 1865, M. Doran exerça sa profession à St-Joseph où il décéda le 29 avril 1909. Marié à Philomène Jacques de St-Joseph en 1871, décédée la même année que son époux le précédent de 3 mois. Julie épousera Wilfrid Jacques en 1911. Cette maison était où se trouve aujourd'hui le bureau de poste de St-Joseph. Elle a été déménagée sur le boulevard Robert cliche (partie nord) (En 2021 la maison bourgogne qui fait le coin Lambert Robert-Cliche). Autre photo de cette maison prise en 1920 dans cet album. - 1897 Devant l'église de St-Joseph
Devant l'église de St-Joseph 1897 - 1897 ND Maison et atelier Georges Garneau
Famille Georges Garneau devant leur maison (et atelier) sise au 76 rue Martel, Saint-Joseph de Beauce (près de l'entrée du pont). Alexandre Drouin, Ernest Poulin, Isaï¯Garneau, Marie-Louise, Antonia, Georges et Marie Garneau -1897 - 1897 Élèves du Couvent
Élèves du Couvent des soeurs de la Charité à Saint-Joseph en 1897 - 1900 ND Moulin de Fermes
Moulin sur la Rivière des Fermes à St-Joseph des Érables - 1900 ND Maison Garneau
1900 ND Maison Garneau. Photo de famille prise par G. Garneau. Rue du Pont (autrefois aussi rue de l'Église) - aujourd'hui le 76 rue Martel et l'atelier de sellerie tout à côté - 1900 ND Palais de Justice vers 1900
1900 ND Palais de Justice vers 1900 - 1901 - Cliche
A l'endos de la photo il est écrit: Saint-Joseph - Souvenir de Wilfrid Cliche à sa cousine Anne Marie Garneau, en 1901 - 1901 Henri Séverin Béland, médecin, maire et député
1901 Henri Séverin Béland, médecin, maire et député . Extrait de sa biographie.. . Né à Louiseville en Mauricie, M. Béland étudia la médecine à l'Université Laval. Après avoir pratiqué dans le New Hampshire, il revint ensuite à Saint-Joseph-de-Beauce. Durant la Première Guerre mondiale, il fut médecin en Belgique avant d'être capturé par les Allemands et fait prisonnier de guerre pendant trois ans. De son incarcération, il écrivit le livre Mille et un jours en prison à Berlin paru en 1919. Il entama ses premiers pas en politique en devenant maire de Saint-Joseph-de-Beauce de 1897 à 1899. Élu député du Parti libéral du Québec dans la circonscription provinciale de Beauce en 1897, il sera réélu par acclamation en 1900. Il démissionna en 1902 pour se présenter sur la scène fédérale.. - 1902 Correspondance-1902-b