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[paternal grand-parents], strýkovia a tety

[maternal grand-parents], strýkovia a tety

Henri Poulin 1915-1958

obrázok
  • Narodený dňa 27. máj 1915 (štvrtok) [in (place)] Saint-Odilon-de-Cranbourne, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
  • Pokrstený dňa 28. máj 1915 (piatok) [in (place)] Saint-Odilon-de-Cranbourne, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
  • Zomrel dňa 26. december 1958 (piatok) [in (place)] Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada (Cause de décès)
  • Pochovaný v január 1959 [in (place)] Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
  • 43 rokov, 6 mesiacov starý/mesiacov stará, 30 dňov starý/dňov stará
  • Sténographe à la Cour Supérieure
  • Pokrvenstvo: 0,78 %

Manželstvo a detitree desc.

[time line] Tree

([missing date]) Narodenie dieťa x x
27. máj 1915 Narodenie
Saint-Odilon-de-Cranbourne, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
Ac
28. máj 1915 [baptism]Tree
Saint-Odilon-de-Cranbourne, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
Krstný otec: Georges Garneau 1894-1939.
Krstná matka: x x.
Baptisé par le prêtre J.E. Donalson. Les parrains marraines sont Georges Garneau et sa soeur Henriette Garneau.
3. august 1939 [marriage event] s :i: Thérèse Beaulieu 1918-2016Tree
Saint-Joseph-de-Mékinac, Trois-Rives, Mauricie, QC, Canada
Contrat de mariage établi sous le régime de séparation de biens et signé à St-Tite à l'office du notaire Philippe Germain le 2 août 1939. Le mariage à l'église de St-Joseph de Mékinac est officié par le prêtre J.A. Mongrain.Autres témoins à la signature du contrat: Eddy Gallagher.
26. december 1958 Úmrtie
Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
Décès: maladie du coeur (infarctus), possiblement pour raison de malformation au coeur,une malformation congénitale. Photo: Henri Poulin 1941
január 1959 Pohreb
Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada
12. apríl 2016 Úmrtie manželka Thérèse Beaulieu 1918-2016 (97 rokov)

[individual notes]

Voir les Avis.

1 - En Mauricie

alternative descriptionHenri Poulin et collègues de travail aux bureaux de la C.I.P. à Rivière du Milieu, en Mauricie, 1937

Vers 1936 Henri au début de la vingtaine obtient un emploi de commis pour la C.I.P., la Compagnie Internationale de Papier, qui exploite une grande partie de la forêt en Mauricie en y tenant plusieurs camps forestiers de même qu'une importante papetière à La Tuque. C'est à Rivière-du-Milieu (carte) près du (Lac Mékinac) qu'il occupe son premier emploi lorsqu'il fait la connaissance de Thérèse Beaulieu dans l'hotel et magasin général que tient son père Ubald à St-Joseph-de-Mékinac (maintenant Trois-Rives). Il la fréquente un an et l'épouse le 3 août 1939, le contrat de mariage est signé à St-Tite la veille. Plusieurs photos de l'album le montre à cet endroit avant et tout juste après son mariage dont celle-ci aux bureaux de la C.I.P. à Rivière-du-Milieu. Au moment de son mariage Henri est Chef de district pour la C.I.P.

En 1939 encore la guerre éclate et Henri passe des examens médicaux à La Tuque pour l'armée canadienne. Compte tenu de l'état de son coeur, une malformation congénitale à la naissance selon Thérèse, il est déclaré inapte au service militaire actif mais fait quand même partie de la réserve (en sa partie civile). Après cette première halte en Mauricie et son mariage avec Thérèse, la plus belle fille de Mékinac, le travail l'amène dans la municipalité de La Bostonnais (Haut St-Maurice) situé à 11 km au nord de La Tuque en direction du Lac St-Jean. Yvan est né à l'hôpital de La Tuque. Deux ans plus tard Henri s'amène à Dessane , un poste isolé de la C.I.P. accessible que par le train à quelques 60 km de La Tuque en direction nord vers Senneterre en Abitibi. Il y habitent une petite maison sur le bord de la voie ferrée à Dessane, Yvan a 2 ans.

La petite famille est installée depuis moins de deux années à Dessane quand Thérèse est hospitalisée à Québec pour y subir une opération (ovaires). Alors qu'elle est en convalescence chez ses beaux-parents à St-Marie de Beauce, Henri quitte son emploi à la C.I.P. pour s'établir en Beauce sa région natale.

2 - En Beauce

Henri aura fait la presque totalité de ses études à St-Marie, jusqu'à la fin du collège et c'est peu de temps après qu'il quitte la région pour un emploi en Mauricie et y trouver son épouse. En Beauce, le couple tout juste arrivé de Dessane en Haute Mauricie s'installe à St-Marie chez les parents d'Henri qui y tiennent un hôtel, puis dans dans un appartement à proximité. Henri occupe alors un emploi à la Commission des Prix, un organisme gouvernemental qui fixe les prix et le rationnement de la nourriture en période de guerre, guerre qui rappelons-le a été déclarée dans l'année même, il fréquente régulièrement le mess des officiers de la municipalité - voir les photos de cette époque dans l'Album Photos, dont celle-ci . Je passe sous silence (voir le témoignage de Yvan plus bas) une courte période où Henri se serait lancé en affaire avec un partenaire à St-Marie dans la confection d'habits militaires pour l'armée canadienne, probablement un contact établi au mess des officiers. Yvan a 3 ans et surprise, France naîtra dans cette municipalité alors que l'opération de Thérèse devait la laisser possiblement stérile, nous sommes en 1944.

alternative description Maison de la rue Legendre à St-Joseph de Beauce vers 1945-53
En ~1945 Linière et Albertine vendent l'hôtel de St-Marie et achètent une maison à St-Joseph, celle dont héritera plus tard x x le plus jeune de leur enfant. En 1946 le couple Henri/Thérèse et leurs deux enfants établis à St-Marie depuis 2 ans déménagent à St-Joseph sur la rue Legendre, Henri avait peu de temps auparavant (fin 1943) débuté un nouvel emploi au bureau régional de la Shawinigan Water and Power de St-Joseph - photo de groupe de la SWP , alors que pendant les jours de semaine il pensionnait chez sa soeur mariée Odilon Cliche. Il demeurent environ 5 ans dans la maison de la rue Legendre (vendue 1000$ à Robert son frère) avant d'acheter pour 1200$ la maison sur l'avenue du Palais à l'été 1953 (1) - cette maison parmi d'autres photos dans l'Album Photos. Ce sera leur dernier pied à terre en Beauce. En 1950 Henri est sténographe officiel au Palais de Justice de Saint-Joseph en remplacement de René Dallaire qui exercera ce métier jusqu'à son décès le 3 mars 1950. Il travaille encore à temps partiel pour la SWP et s'occupe à son nouveau passe-temps préféré, la philatélie, sans doute motivé par la quantité de lettres et colis postés au Palais de Justice; à cet effet il tient un petit commerce de vente et échange de timbres, le 'Marquette Stamps' qui l'occupe à son domicile et de mémoire, les dernières années, dans un local sous le bureau de poste nouvellement construit rue du Palais tout à côté de la pharmacie Cliche. Nicole, Richard et finalement Bernard s'ajoutent à la famille et pour ces dernières années à St-Joseph son travail de sténographe l'occupe à plein temps, il occupe alors un bureau dans l'édifice municipal de la ville . Il a de grands projets de rénovations pour la maison mais décède subitement à l'hiver 1958.

alternative description Maison familiale Henri et Thérèse, de 1953-1959
Henri est décédé chez lui d'un infarctus le 26 décembre 1958 au soir - on dira alors qu'il aura trop pelleté durant cette soirée fatidique, qu'il croyait avoir une indigestion... chose certaine, tous ceux présents dans la maison l'auront entendu tomber sur le plancher terrassé par par une 'crise de coeur'. C'est la panique, on appelle le docteur Odilon Cliche, son beau-frère qui demeure tout près, mais malgré les longues minutes qui suivent à lui fournir de l'oxygène et à pratiquer pour quelques uns à tour de rôle les massages et la réanimation cardiaque rien n'y fait, Henri ne reviendra pas. La soirée prend évidemment l'allure du plus triste Noël à vie pour la famille. Quelques mois après sa mort, la maison est vendue et la décision est prise, Thérèse et ses 5 enfants prendront la route de la Mauricie, vers la ville de Shawinigan pour y retrouver sa soeur mais le plus important, pour y dénicher un emploi. Elle y sera institutrice jusqu'à sa retraite. Nous sommes en juillet 1959 et la vie en Mauricie débute pour la famille encore sous le choc.

  • Voir d'autres photos d'Henri dans l'album photos de Genepoulin.
  • Note 1. J'ai cette information de Isabelle Cliche car je serais né rue Legendre à l'hiver 53.

3 - Témoignage

3.1 - Témoignage de Yvan Poulin

Plus haut on parle de Dessanne ... Je me rappelle que Henri après une tempête de neige était monté sur le toit de la maison avec moi pour dégager le toit. Il m'a jeté en bas sur le banc de neige et Thérèse criait au meurtre parce qu’apparemment j'avais disparu. Ça je m'en rappel très bien, pas croyable quand même, j’avais deux ans d’après note mère.

Chasse - Henri et Emery Twyman allaient à la chasse à à la perdrix tous les automnes, leur gibier préféré était la perdrix mais aussi l’ours pour les peaux qui se vendaient très cher aux encans et l'orignal. J’ai l‘impression que c’est Emery qui a convaincu Henri de venir travailler à La Tuque étant donné qu’il manquait de main d’oeuvre. Henri aurait connu Emery durant la guerre mais comment exactement je ne sais pas [NDLR Emery était le conjoint de Lucille Poulin, soeur de Thérèse, donc il a pu connaître Henri lors du mariage de celui-ci et de Thérèse en 1938 ou même avant]. Emery dessinait les routes à franchir pour la CIP, il était toujours dans la forêt. Photo d'Yvan avec Emery Twyman au retour d'une chasse à l'orignal .

Sainte-Marie de Beauce - A tous les Noël, oncle Auguste Poulin et sa femme (tante) Pauline venaient à la maison pour le réveillon. Henri et Auguste buvaient du 'whisky blanc', Henri fumait la cigarette et Auguste avait sa légendaire pipe. Henri aimait la mécanique et m’achetait le fameux jeu Mécano à tous les Noël. Il avait même bâti la tour Eiffel en modèle réduit qui étai plus haute que moi à cet époque.

La manufacture d’habits a Sainte-Marie - [NDLR Thérèse et Henri de retour en Beauce] J'avais alors 5 ans. Il y avait plusieurs femmes, des moulins à coudre et une grande table pour tailler les vêtements et c’est là que moi j’ai fait une bévue monumentale en démarrant la machine à tailler qui avait une grande lame de rasoir de peut-être de 8" de long. En démarrant, la machine a tombé tout près de moi sur le plancher et tous le monde s’est mis à crier et ça m’avait traumatisé et Thérèse m'a mis en pénitence dans le petit coin! Henri a dû fermé la manufacture à cause du manque de fil qui était devenu très rare et même impossible à trouver durant la guerre.

Quelques années plus tard la maison de l'oncle Auguste a passé au feu en plein hiver par une température dans les -30° F. L’eau gelait à mesure qu’elle frappait la maison - la maison fût une perte totale, un problème électrique apparemment. Tante était à l’hôpital durant cette période pour raison de tuberculose et Auguste a demeuré avec nous pendant quelques temps. Les deux frères ont fait du vin, une douzaine de bouteilles qui ont toutes explosées environs 4 mois plus tard dans une chambre à coucher. Un vrai dégât, Thérèse n’était pas contente et mois non plus, mes jouets étaient tous là.

Nous demeurions a Ste-Marie et Henri travaillait à St-Joseph et ça pendant deux années. Tous ça est bien mentionné plus haut dans les autres commentaires. Auguste Poulin est parti et je crois que c’est là qu’il a commencé son commerce de souvenirs "Handycraft" dans une maison achetée entre Sainte-Marie et Vallée-Jonction. [NDLR c'est donc cette maison qu'on a connu pour y être souvent aller et devenue Boutique Le jarret Noir ]

Pendant qu’Henri travaille à St-Joseph (semble t-il grâce à Odillon Cliche), il rencontre Robert Cliche, avocat, qui lui fait mention que le palais de justice de St-Joseph aurait éventuellement besoin d’un sténographe. Intéressé, Henri prend des cours par correspondance pendant deux ans et obtient son diplôme. [HDLR : Henri devient officiellement sténographe officiel suite au décès de René Dallaire tel que déjà mentionné]. Sur cette photo on aperçoit Henri (de dos) accompagné de Robert Cliche et quelques autres personnes lors d'une 'cabane à sucre' en 1953.

Maison sur la rue Legendre - Henri adorait les animaux et bâtit des cages à chinchillas afin d'en faire le commerce. Les cages étaient très bien construites d’après des plans qu’il fait venir des USA. Le projet n’a jamais eu lieu dû à la rareté et au prix exorbitant demandé pour seulement un coupe de ces petite bêtes. Il s’est retourné vers des lapins très rare qu’il importait des USA. Les "géants des flammes" était sa race préférée, tous très beaux avec une fourrure blanche immaculée. La partie a droite de la maison est l’endroit ou il fait l’élevage [NDLR : là ou plus tard son frère Robert établira un élevage de perruches]. Durant cette période moi j’allais au collège a St Joseph et avait comme ami Adrien Ouellette [ Décès Adrien-Ouellette 2023 ] et son frère Jean-Pierre. Henri a une voiture Chevrolet 1947 qui était très robuste et pesait supposément 3 tonnes; la tôle était tellement épaisse qu’il était difficile d’y percer un trou. Avec cette voiture il venait me chercher à Jackman à tous les Noël (alors que j'étudiais en Nouvelle-Écosse), seul même parfois, dans de grosses tempêtes de neige. Plus tard il s'achète une voiture neuve, une Studebaker Commander 4 portes à 8 cylindres, un vrai bolide.

Période difficile - Un jour la soeur principale du couvent tout près de notre maison (rue Legendre) est venue se plaindre que je volais des pommes dans leur verger. Après le départ de la soeur, Henri pris une chaise de cuisine en bois, l'a fracasse sur le plancher pour ensuite m’attraper par le bras et me battre avec un barreau tout le long en montant l’escalier du deuxième. Ma mère dans tous ses émois se mit à pleurer et à traiter Henri de sauvage. Elle appelle le Dr Odilon Cliche pour lui raconter l’incident et dans un rien de temps il était a la maison pour m’examiner. J’étais couché par terre lorsqu'il est arrivé. Il m’a amené à son office pour prendre des rayons x puis chez-lui et tante Juliette a pris soin de moi. Oncle Odilon était furieux de voir à quel point j’étais amoché, ma rotule gauche déplacée et le genou plein d’eau, des coups reçus partout sur le corps. J’ai appris par la suite que Thérèse a appelé sa soeur Lucille Beaulieu à Shawinigan et aurait dit à la famille qu’elle ne voulait plus vive avec Henri. Il s’est passé beaucoup de chose que je ne comprenais pas et je m'étais retirer à l'écart. Je ne pouvais plus marcher et j'ai manqué l'école pendant une semaine. Pour apaiser la situation Henri s’est absenté de la maison pendant un bout de temps et restait avec son frère Auguste, je ne sais pas trop où. Éventuellement les chose se sont replacées avec l'aide de tous les frères et soeurs d'Henri qui contribuaient à réparer la situation avec Thérèse. Il faut dire que ma mère me gâtait beaucoup et cela semble-t-il ne plaisait pas à mon père. Il a refait une colère semblable plus tard l’orque je fis un autre mauvais coup pendable. Il s’est retenu de me battre mais il était fou de rage. On m'a raconté plus tard que mon père vivait une période difficile au travail avec beaucoup de pression.

Agrandir l'image.Michel et Georges Cliche et Yvan en route pour Church Point
Voila une des raisons pour laquelle il m’a envoyé étudié en Nouvelle-Écosse alors que mes parents n’avaient pas les moyens. Il disait tout le temps que j’avais besoin de discipline. L'oncle Odilon lui a offert de payer pour ma première année et il a accepté. Aussi, George mon cousin et moi étions comme deux frères et il a demandé a son père de faire en sorte que je puisse aller avec lui au collège à Church Point .

J’ai eu de très bons moments avec mon père quand même avant tous ces évènement. Il m'amenait à la pêche sur de très beaux lacs privés plein de belles truites arc-en-ciel et j’étais très heureux avec lui. On le voit ici accompagné d'Odilon lors d'une de ces parties de pêche photo . Il tapait tous les procès lui-même à la machine sur une Underwood qui sonnait à chaque fois que le rouleau atteignait la limite à droite. Il était très rapide sur cette machine, 70 mots à la minutes sans faute ou presque. Tout était écrit sur un stencil que moi et ma mère insérions sur une machine à faire des copies. Chaque procès était transcris en douze copies et pouvait contenir jusqu’à deux mille pages ou parfois plus.

Je dois mentionner que mon père, pour se faire pardonner du malheureux évènement mentionné plus haut m’a acheté un beau vélo de course à 8 vitesses. Le plus beau vélo du village, tout le monde en était jaloux, y compris mon cousin Georges. Trois semaines plus tard il fut volé sur la galerie derrière la maison. Il a été retrouvé ainsi que le voleur un mois plus tard par l'oncle Robert Poulin (NDLR : Robert occupait alors un poste à la police provinciale - photo ).

Auguste, Henri et Robert n'assistaient jamais aux messes du dimanche. Ils restaient sur le perron de l’église et fumait tout en parlant. Les femmes croyaient les hommes religieux, finalement ça faisait l'affaire de tout le monde.

Anecdote : C’était un beau dimanche matin de printemps, la neige fondait et moi et mes amis avons eut l’idée de construire un barrage de glace et de neige tout au haut de la rue Legendre ou nous habitions. L’eau s’accumulait très vite. L'idée était d’attendre les gens revenant de la messe et pendant qu’il remontait la côte à pied nous allions ouvrir le barrage. Il fallait le voir pour le croire! Les ptits vieux sur le cul étaient emportés vers le bas et nous tous au haut on riait comme des fous. Voila pourquoi Henri perdait patience avec moi. Je n’arrêtais jamais de faire des coups pendables.

Pendant plusieurs années je n’eut plus aucune conversation avec mon père. Pour moi c’était fini et j’ai pensé même le tuer tellement je le détestait. Mais étant jeune s’était mois que ne comprenait rien aux difficultés de mes parents. Ma mère n’aimait pas France (à ce que je sache) mais Henri l’adorait. Elle ne voulait plus d’enfants, je l’ai entendu dire plusieurs foi. Mais la religion de l’époque étant ce qu'elle est contrôlait tout, et c’est comme ça que nous avons eut une assez grande famille quand même.

- France s’ait casser un jambe en tombant dans un trou qu’on creusait en face de la maison, d'une profondeur de 7 ou 8 pieds pour y installer un tuyau d’égout en direction du couvent des soeurs.

- Les 'débacles' énormes, le feu de la coopérative sur la rue principale en haut de village.

- Le fameux 'gargorine' de l’oncle Robert - le saut en parachute truqué pour faire peur au spectateurs (anecdote mentionnée dans le livre de Simon Poulin).

- L’usine de portes et châssis où mon père m’a envoyé travailler parce qu’il connaissait le propriétaire.

Je pourrais écrire un livre tellement il s’est passer des choses incroyable à St Joseph.

  • Propos recueillis en septembre 2023

3.2 - Actes et Avis

  • Acte de naissance Henri Poulin, 1915, St-Odilon de Cranbourne.
    acte naissance henri
  • Acte de mariage Henri Poulin & Thérèse Beaulieu, 1939, St-Joseph de Mékinac.
    acte mariage henri
  • Avis de décès paru dans le Journal le Soleil et L'action Catholique le 29 décembre 1958

alternative description


4 - Photos

Zdroje

  • Osoba: Thérèse Beaulieu.
  • Narodenie: Extrait de baptême paroisse St-Odilon, comté de Dorchester (notaires Taschereau et Allard).
  • [baptism]: Extrai de baptême paroisse St-Odilon, comté de Dorchester..
  • Manželstvo: Contrat de mariage notaire Philippe Germain.
  • Rodina: Contrat de mariage.
  • Úmrtie: Généalogie Québec - Institut généalogique Drouin.
[missing image]
Abraham
Poulin

1838-1913
[missing image]
Ida
Lessard

1840-1884
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Georges
Garneau

1854-1943
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Angélina
Cliche

1861-1897

1859

1880






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Linière
Poulin

1874-1949
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Albertine
Garneau

1880-1956
1903



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