Voir : Descendants | Notes
Jusqu’aux arrière-petits-enfants.
Jeanne Gaillard, née vers 1597.
[Note 1]
Mariée le 25 juin 1611 (samedi) avec
Jean Loup Mercier, né vers 1592 [Note 1-1]
... dont enfants
... dont enfants
... dont enfants
... dont un enfant
... dont un enfant
... dont enfants
... dont enfants
Total : 34 personnes (conjoints non compris).
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Autre lieu et date de naissance répertoriés : En 1626 à Les-Sables-d'Olonne, Vendée, France - selon Recensement de 1681 en Nouvelle-France, référant au chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal le 17 mars 1998. Et selon Recensement de 1667 en Nouvelle-France, référant au tome IV, chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal le 17 mars 1998. Alors agée de 40 ans. [Selon d'autres sources, Jeanne Mercier serait la fille de François Mercier et de Roberte Cornilleau de Tourouvre, au Perche] (?)
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L'ancêtre Claude Poulin figure parmi les individus répertoriés dans la base de données généalogique universelle Roglo. Depuis peu on y retrouve aussi la lignée Linière Poulin. Il est possible de consulter cette inscription à ce LIEN. Claude ou Claude-Basile Poulin, né le 26 janvier 1616 est originaire de la paroisse de Saint-Maclou de Rouen en Normandie, département de la Seine-Maritime. Ses parents sont Pasca Poulin et Marie Levert , une plaque commémorative relatant sa naissance peut être vu en ce lieu. Voir la référence Wikipedia: Église de Saint-Maclou.
Claude qui est instruit signe Poullain. Le 1er juin 1636, il arrive à Québec, au pied du Cap Diamant, sur le vaisseau du Sieur Courpon, en même temps qu’Étienne Racine et Robert Caron. Ils sont les premiers colons de la Côte de Beaupré, dans la partie située aujourd’hui dans les paroisses Sainte-Anne et Saint-Joachim. Claude épouse à Québec dans la paroisse de Notre-Dame-de-la-Recouvrance, le 8 août 1639, Jeanne Mercier, baptisée le 25 décembre 1621, à Saint-Jean de Mortagne, au Perche, fille de Loup Mercier et de Jeanne Gaillard. Ils sont retournés en France, entre 1639 et 1648. En effet, de 1639 à 1648, les registres de l’état civil ne contiennent rien à son nom. D’ailleurs, il fait baptiser un fils dans l’église de Saint-Maclou de Rouen, le 15 février 1645. En 1648, il fait baptiser un autre fils, cette fois-ci, à Québec. Olivier LeTardif lui concède une terre de six arpents de front dans la Seigneurie de Beaupré. Le 1er septembre 1651, il accepte une concession qui lui est faite par la fabrique de Québec et sise au Petit Cap (Cap-Tourmente). En 1667, Claude Poulin possède trente arpents de terre défrichée. Claude a 51 ans, Jeanne Mercier en a 40. Au total, neuf enfants naissent de leur union. Le 14 décembre 1687, Jeanne Mercier décède de le petite vérole. Trois jours plus tard Claude Poulin s’éteint à son tour de la même maladie, il est alors âgé de 72 ans. * Lire Claude Poulin, l'ancêtre des Poulin au Québec. L'ancêtre Poulin dans Grandes Familles du Québec - en partie, Les éditions du Septentrion. (Les Poulin - pages possiblement consultables sur Google 74-78.)
Claude Poulin dans la base ROGLO d'où l'on voit la liste de ses filleuls et témoins à des mariages.
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Née le 1 janvier 1641. Décédée le 17 juillet 1716. Passée en France en 1644 avec ses parents, revenue en 1647 avec ses parents, sa sœur Madeleine et son frère Pascal; Mariée le 18 janvier 1654 à Julien Mercier, fils de François Mercier et de Roberte Cornilleau,en la maison de Robert Giguère, par le père Ragueneau. Témoins : Robert Giguère, Étienne Lessart et Louis Gasgnier (ct 07-10-1652 Aubert) . Marie avait treize ans. Ils ont eu dix enfants, six garçons et quatre filles, dont deux jumelles nées après la mort de leur père. Julien est décédé le 18 Octobre, 1678 et inhumé le lendemain, à Beaupré.; 2e m 10-11-1682 Beaupré (ct 05 Aubert) avec Charles MONTMINY dit Jouvent; . Marie et Charles ont eu un enfant, Louis. (DGFQ : 798, 826, 938). (Src: Mario Poulin/FB La Grande Famille Poulin 2019) Une descendance du couple sur 10 générations mène à la naissance de la chanteuse populaire Céline Dion (voir: Geneanet Perche-Québec.
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Arrivé avec ses parents au Canada. Il se serait perdu dans les bois ou pris par les Iroquois dans le région de St-Anne de Beaupré avant le 08-06-1661. A propos de cette disparition
Dickinson dans La guerre iroquoise et la mortalité en Nouvelle-France 1608-1666 en page 33-35 fait mention de ces deux captures quoiqu'il ne peut conclure à une capture par les iroquois [document PDF numérisé disponible ]. Voici quelques passages : «Les sources pour l’étude des victimes des Iroquois sont bien connues des historiens. Elles comprennent essentiellement les écrits des Jésuites (les Relations et le Journal), les registres d’état civil des paroisses de Québec, de Trois—Rivières et de Montréal, la correspondance de Marie de l’Incarnation, I'Histoire du Canada du jésuite François Ducreux et les Oeuvres de Champlain. La valeur de ces sources est cependant assez inégale, et i1 faut préciser les apports comme les lacunes de chacune d’entre elles». «Ces sources permettent de dresser des listes, aussi exhaustives que possible, de tous les Français tués ou emmenés captifs par les Iroquois entre 1608 et 1662. Pour les années 1663-1666, les indications sont plus fragmentaires et ne méritent pas la même confiance. Il est vraisemblable que la seule victime de 1663 soit connue puisque la Relation de cette année indique que seul Montréal «a été teint du sang de Français». En 1664, les Iroquois auraient tué dans nos champs divers Français. Outre les quatre victimes de Montréal, seul un dénommé André de Québec est connu. Au début de mai 1665, les Jésuites reçurent la nouvelle de «plusieurs massacres faits à Montréal». Presque toutes les mentions d’événements pendant ces années concernent Montréal; il n’y eut qu’un mort à Québec et deux personnes capturées dans d’autres régions la colonie, l’une a l’ile d’Orléans et l’autre à Trois-Rivières en 1664. [...] Ni 1e Journal, ni les lettres de Marie de 1'Incarnation ne mentionnent de victimes dans la région de Québec et il est logique de conclure que ce silence reflète la réalité. [...] Pour 1a période 1608 à 1662, l'énumération des 59 personnes tuées par les Iroquois dans la région de Montréal est complète à l’exception du nom d’un ouvrier tué au fort Richelieu en 1644. Tous les détails sont connus sur les huit personnes qui trouvèrent la mort pendant qu’elles étaient en mission chez les Agniers ou chez les Hurons. Dans la région de Trois-Rivières il nous manque les noms d’un peu moins du tiers des 36 victimes. C’est dans cette région qu’existe un risque de sous-évaluation, mais nous croyons avoir pu repérer la grande majorité des cas. 17 des 38 victimes de la région de Québec restent dans l’anonymat, mais ce total doit correspondre a la réalité. Le total des victimes s’élève donc a 141 pour la période 1608-1662. Entre 1663 et 1666, les 11 victimes de la région de Montréal sont connues ainsi qu’une victime de la région de Québec». Et en page 35 : « Les deux enfants Poulain qui disparurent de la cote de Beaupré en juin 1661 se sont vraisemblablement perdus clans les bois. Il est possible qu’ils aient été captures, mais il ne faudrrait pas prendre pour acquis que les Iroquois sont automatiquement responsables de chaque disparition.» Source: Dickinson, J. A. (1982). La guerre iroquoise et la mortalité en Nouvelle-France, 1608-1666. Revue d'histoire de l'Amérique française, 36(1), 31—54. https://doi.org/10.7202/304030ar Relations des Jésuites contenant ce qui s'est passé de plus remarquable dans les missions des pères de la Compagnie de Jésus dans la Nouvelle-France : http://bibnum2.banq.qc.ca/bna/numtxt/relations.htm
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Née le 27 juin 1646 à St-Maclou de Rouen. Décédée en avril 1682 à St-Joachim. Mariée en 1703 à Jean-Baptiste Lagarenne, à Ste-Anne de Beaupré. D’après donation 18-10-1682 Duquet, St-Joachim; arrivée en 1647 avec ses parents, sa sœur Marie et son frère Pascal; pensionnaire des Ursulines en 1656-1657 (AUQ, Livres des entrées); confirmée 02-02-1660 Château-Richer; m 19-11-1659 Québec avec Pierre MAUFILS dit Honfleur; béni par le père Lefrancois Lemercier, famille établie à Château-Richer; 3 enfants. (CI : 203; DGFQ : 791, 938) (Src. Mario Poulin, La Grande Famille Poulin/FB 2019)
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Premier ancêtre Poulin né en Nouvelle-France. Il est le 4e enfant de Claude Poulin et de Jeanne Mercier. [Autre info: Martin Poulin, fils de Claude Poulin et de Jeanne Mercier, est né le 26 septembre 1648 et il est décédé le 15 janvier 1728. Vers 1680, il a épousé en premières noces Angélique Bolduc. Puis, le 21 janvier 1688, à Ste-Anne de Beaupré, il a épousé Jeanne Barette, née le 16 septembre 1668 et décédée le 16 novembre 1745. Jeanne était la fille de Jean Barette (Baret), fils de Guillaume, né vers 1630 à Beuzeville, en Normandie, et décédé à Ste-Anne de Beaupré en décembre 1708 et de Jeanne Bitouset, fille d'Antoine Bitouset et de Nicole Dupont. ] Martin Poulin, fils de Claude Poulin et de Jeanne Mercier, fut l'ancêtre des familles Poulin de la Beauce. U naquit en l'an de grâce 1648, le 26 septembre, mais, vu l'absence du missionnaire, il fut baptisé privément chez ses parents le jour de sa naissance. Près d'un mois plus tard, le 17ième jour d'octobre, le Père B. Vimont, de la Compagnie de Jésus, lui conférait solennellement les cérémonies du baptême, en l'église de Québec. Il eut comme parrain Martin Grouvel et comme marraine Marie Couillard, d'où son nom de Martin. C'est ce même Père Vimont qui, six ans auparavant, au printemps de 1642, accompagnait Maisonneuve et ses compagnons lesquels allaient fonder Ville-Marie, autrefois bourgade d'Hochelaga devenue maintenant la métropole du Canada. Durant la sainte messe qu'il célébra, il prononça à cette occasion ces paroles célèbres qui devaient dans la suite se réaliser à la lettre : — " Ce que vous voyez ici, Messieurs, n'est qu'un grain de sénevé, mais il est jeté en terre par des mains si pieuses, qu'un jour il produira un grand arbre." Je crois que ces paroles pourraient s'appliquer aux familles Poulin dont il baptisait, six années plus tard, le deuxième ancêtre, Martin, car, aujourd'hui elles sont devenues un arbre immense dont les rameaux couvrent pour ainsi dire toute l'Amérique du Nord, depuis les provinces maritimes jusqu'au Yukon, de la côte Nord aux États- Unis jusqu'en Floride. Quarante ans plus tard, Martin épousait, dans l'église de Sainte Anne-de-Beaupré. Jeanne Barette, fille de Jean Barette et de Jeanne Bitousset, ses père et mère, née le 16ième jour de septembre 1668 et baptisée le 18ième jour du même mois, au Château-Richer, par l'abbé Thomas Morel, prêtre-missionnaire. Elle eut comme parrain Robert Caron et pour marraine Marie Poulin, sa future belle-sœur, femme de Julien Mercier. Ci-dessous l'extrait de mariage de Martin Poulin : —
Tous ces Drouin étaient natif de Château-Richer, Côte-de-Beaupré, et étaient les enfants d'Étienne Drouin et de Catherine Loignon. Après 20 ans de vie conjugale, Martin Poulin mourut le 15 janvier 1710. L'acte de décès stipule : «le 16 janvier 1710 a été inhumé dans le cimetière de cette paroisse (Sainte-Anne-de-Beaupré), Martin Poulin habitant cette paroisse, âgé de 61 ans, mort d'hier à minuit après avoir reçu tous les sacrements de Pénitence, Viatique et Extrême-Ontion, donnant toujours des marques de bon chrétien et de vrai enfant de notre mère la sainte Eglise catholique apostolique romaine; ont assisté à la sépulture : Ignace Poulin, son frère, Etienne Simard, son beau-frère, Guillaume Morel, beau-frère et plusieurs parents et amis qui ont déclaré ne savoir écrire ni signer. A. Chabot, ptre». Que faisait Martin Poulin ? Dans tous les extraits de baptême de ses enfants, de son mariage à lui ou celui de ses enfants, dans son extrait de sépulture, voire même dans une copie de son contrat de mariage passé devant le notaire Jacob, au Château-Richer, le 19 janvier 1688, son état civil n'est pas mentionné. Ce que ce qu'on peut affirmer c'est qu'il n'était pas cultivateur. L'extrait de sépulture de Martin Poulin va comme suit : Le 16 janvier 1710 a été inhumé dans le cimetière de cette paroisse, (Sainte-Anne de Beaupré), Martin Poulin habitant cette paroisse, âgé de 61 ans, mort d'hier à minuit après avoir reçu tous les sacrements de Pénitence, Viatique et Extrême-Onction, donnant toujours des marques de bon chrétien et de vrai enfant de notre mère la sainte Église catholique apostolique romaine ; ont assisté à la sépulture : Ignace Poulin, son frère, Etienne-Simard, son beau-frère, Guillaume Morel, beau-frère et plusieurs parents et amis qui ont déclaré ne savoir écrire ni signer. A. Chabot, ptre. Cet acte de sépulture est significatif et tout à l'honneur de ses descendants.
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Jeanne est née à Château-Richer le 16 septembre 1668 et fut baptisée le 18 par le père Thomas Morel. Ses parrain et marraine étaient Robert caron et Marie Poulin, épouse de Julien Mercier. Elle fut inhumée à Château-Richer le 16 novembre 1745 en présence de Jean Cochon et d'Ignace Taillon. Le père Resche, curé, officiait. Elle s'est mariée dans l'année suivant le décès de ses parents. Le 16 novembre 1747, au Château-Richer, était inhumée Jeanne Barette, épouse en secondes noces d'Etienne Drouin, lequel l'avait précédée dans la tombe depuis quelques années, Voici son extrait de sépulture : — " Aujourd'hui, seizième jour de novembre 1745, a été inhumée dans le cimetière de cette paroisse (Château-Richer), par moi curé soussigné, Jeanne Barette, âgée de 77 ans (non 75) après avoir reçu tous les sacrements, en présence de Jean Cauchon et Ignace Taillon, lesquels ont déclaré ne savoir signer, de ce requis suivant l'ordonnance. Neserre ptre.
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Jean Poulin a épousé le 21 juillet 1711, Agnés Drouin du Château-Richer,Côte-de-Beaupré, dont voici l'extrait de baptême traduit du latin : «Le 1er mai de l'an 1691, a été baptisée aujourd'hui Agnès, née ce jour du mariage d'Étienne Drouin et de Catherine Loignon, ses père et mère. Parrain Jean Gagnon, marraine Eudovie Cloutier, Charles Martin ptre» Jean Poulin était sergent de la côte de Beaupré (* Ref: Bonnault, Claude de “Le Canada militaire: état provisoire des officiers de malice de 1641 à 1760” in Rapport de l’Archiviste de la Province de Québec pour 1949-1950 et 1950-1951. ) et indiqué dans le certificat de sépulture de son épouse Agnès Drouin. De ce mariage sont nés 10 enfants dont 8 furent baptisés par l'abbé Chabot. L'avant-dernier par l'abbé Levert et l'autre par l'abbé Depierre, tous deux missionnaires de Sainte-Anne. (Des sources mentionnent son décès et inhumation à Rimouski le 1 janvier 1750). Jean Poulin, père de Joseph, n'assistait pas au mariage de son fils, il était sans doute parti en voyage, ses devoirs de sergent l’ayant appelé ailleurs.
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Le couple aurait eu 11 enfants.
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André, né le 31 décembre 1690 ; parrain : François Barette, fils de Jean Barette, oncle maternel de l'enfant, et marraine : Dorothée Lessart, fille d'Etienne Lessart.
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Marie-Anne, née et baptisée le 14 février 1693 ; le parrain a été Pierre Poullain, oncle de l'enfant, et la marraine, Jeanne Bitousset, mère-grande et femme de Jean Barette ; mariée en 1713, à Germain Terriot, de Sainte-Famille (Terriot s'écrit maintenant Thériault), celui-ci était originaire de Charente en Saintonge, même département où naquit Champlain. André et Marie-Anne furent baptisés par l'abbé Germain Morin.
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Agnès, née et baptisée le 28 août 1695 ; parrain : Pierre Mercier et marraine : Agnès Giguère ; mariée en premières noces à Jean Caron et en deuxièmes noces, en 1751, à François Lacroix, tous deux de Sainte-Anne .
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Pierre, né et baptisé le 22 août 1699 ; parrain : Pierre Barette, marraine : Anne Giguère, femme de Pierre Poulin ; décédé le 1er mars 1725 à l'âge de 26 ans et sépulture dans l'église de Sainte-Anne. Ces deux enfants ont été baptisés par l'abbé Erberý, missionnaire de Sainte-Anne.
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Ursule, née le 16 et baptisée le 27 du mois d'août 1699 ; parrain : Etienne Giguère et la marraine : Marie Meunier, fille de Mathurin Meunier, laquelle a signé sur le livre. Louis Soumande, ptre.
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Marguerite, née " aujourd'hui matin " et baptisée le même jour, 16 mai 1702 ; parrain : Charles Boivin, marraine : Marguerite Giguère. Mariée à Louis Bolduc, en 1728, à Sainte-Anne. Née d'aujourd'hui matin n'est sans doute qu'une formulation du prêtre pour signifier sur l'acte la date du baptême (née ce matin même). Parrain et marraine Charles Boivin et Marguerite Giguère. Marguerite s'est mariée à Louis Bolduc en 1728 à St-Anne de Beaupré..
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Parrain et marraine : Étienne Lessart et Geneviève Cloustié. MAriée à François Gagnon en 1721. Geneviève, " née d'hier soir " et baptisée le 27 novembre 1703 ; parrain : Etienne Lessart et marraine : Geneviève Cloustié qui ont signé l'acte ; mariée en 1721 à François Gagnon. D'après Mgr Tanguay " i l est difficile de trouver une paroisse canadienne-française qui n'ait pas sa famille Gagnon.
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Né le 27 janvier 1651 à Québec. Décédé le 6 juin 1661. Enlevé par les Iroquois en même temps que son frère Pascal et jamais retrouvé. Voir la page de son frère Pascal pour plus d'informations.
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Ignace achète de Mgr Laval trois arpents (concession) de terre à Saint-Joachim en 1686. (Saint-Joachim : son histoire jusqu’en 1760 par Micheline Blouin). Ignace Poulin, l'ancêtre de la plupart des familles Poulin de la côte de Beaupré et de celles de l'Ile d'Orléans, naquit le 19 décembre 1655, à Sainte-Anne -de-Beaupré connue à cette époque sous le nom de Cap Tourmente, et fut ondoyé le jour même de sa naissance. Le 2 février de l'année suivante, 1656, lors du passage du mission- naire, l'enfant fut baptisé solennellement au logis de Jean Cloutier, par le Père Rogueneau, de la Compagnie de Jésus, et reçut au baptême le nom d'Ignace ; il eut comme parrain au supplément des cérémonies, Guillaume Boivin, le même qui servait de témoin au mariage de son père Claude, en 1639, et comme marraine Marguerite Sévestre, femme d'Etienne Lessart. Cet acte fut relevé des régistres de l'église Notre-Dame de Québec. Dans l'extrait, il est dit que Ignace était le fils de Claude Poulin et de Jeanne Le Mercier ; c'est le seul cas où la femme de Claude est mentionnée sous ce nom. Ignace Poulin, cultivateur, lequel semble avoir hérité du bien paternel, épousait en l'église de Sainte-Anne du Nord, le 23 août 1683, Marguerite Paray, dont voici l'extrait de baptême : — " Le 3 mars 1664, Marguerite Paray, fille de Robert Paray et de Louise Lehoux, née le dimanche second jour du mois a été baptisée lundi 3è. jour du même mois. Parrain Jean Picard, marraine Marg. Rivière. Morel, ptre missionnaire." Je cite en entier l'extrait de mariage d'Ignace Poulin et Marguerite Paray : — " L'an de grâce 1683, le 23ième jour d'août, après lesfiançailleset la publication des trois bans de mariage faite par moi trois jours de fête différents, entre Ignace Poulin âgé environ 28 ans, fils de Claude Poulin et de Jeanne-Mercier, les père et mère de cette paroisse, d'une part ; et Marguerite Paray, âgée de 19 à 20 ans, de cette paroisse de Sainte-Anne d'autre part, fille de Robert Paray et de Françoise Lehoux, et ne s'étant trouvé aucun empêchement légitime, je, prêtre missionnaire soussigné, les ai mariés dans l'église de Sainte-Anne et leur ai donné la bénédiction nuptiale selon la forme prescrite par notre mère la sainte Eglise, en présence de Robert Paray père de l'épouse, Guillaume Morel, Joseph Guimont, témoins tous lesquels à la réponse du dit Morel qui a signé, ont déclaré ne savoir signer de ce interpellés suivant l'ordonnance. Guillaume Morel, G. Gauthier, ptre missionnaire. Ignace Poulin et Marguerite Paray avaient signé un contrat de mariage devant Paul Vachon.
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Fille de Robert Paré et Françoise Lehoux. 15 Mars 1723 - Louis Allain condamné à subvenir aux besoins de l’enfant qu’il a eu avec Geneviève PoulinUne histoire raconté dans 104 Histoire de Nouvelle-France qui met en scène Marguerite Paré (je ne peut confirmer si c'est la même personne - à voir): Le 15 mars 1723, l’intendant Bégon a condamné Louis Allain à nourrir et entretenir l’enfant qui serait né de sa relation avec Geneviève Poulin et ce, jusqu’à ce qu’il soit en âge de gagner sa vie. Selon son témoignage, Geneviève Poulin, âgée de 16 ou 17 ans, aurait accouché d’un garçon le 10 octobre précédent. Elle était représentée devant l’intendant par sa mère, Marguerite Parée, pour qui la culpabilité de Louis Allain ne faisait aucun doute. Et ce, pour trois raisons : *les visites quotidiennes qu’il faisait chez elle; *le fait qu’il était son plus proche voisin; *le fait qu’un de ses frères avait épousé la soeur de Geneviève Poulin. Louis Allain se disait innocent dans cette affaire. Selon lui, le coupable serait plutôt un certain Eustache Allard, qui avait été engagé chez les Poulin et qui s’en serait absenté justement pour cette raison. Marguerite Parée a répliqué en disant que les explications de Louis Allain ne seraient « [qu’] un faux fuyant et un prétexte allégué mal à propos », car Eustache Allard n’était resté qu’un mois à son service. On a finalement demandé à Geneviève Poulin de prêter serment et de révéler l’identité du père de l’enfant. Elle a répondu « Louis Allain ». L’accusé, même s’il clamait toujours son innocence, a, par contre, rappelé qu’un mois plus tôt, il avait offert de se charger « de la nourriture et subsistance du dit enfant ». Son frère, Jean Allain, aussi présent lors de l’audience, a déclaré avoir aussi proposé son aide financière et ce, devant témoins : les sieurs de la Bouteillerie et Chabot, curés de Saint-Joachim et de Sainte-Anne. Il serait même prêt à le refaire, à condition que s’il arrivait à prouver que le père était réellement Eustache Allard, cette entente serait annulée. L’intendant Bégon a donc condamné Louis Allain à « se charger de la nourriture, subsistance et entretien du dit enfant et de le faire élever dans la religion catholique, apostolique et romaine jusqu’à ce qu’il soit en état de gagner sa vie ». Louis Allain devra présenter à tous les trois mois un certificat témoignant de l’éducation et des soins apportés à l’enfant et signé par le curé de Saint-Joachim. Louis Allain devra aussi verser à Geneviève Poulin la somme de 100 livres tant pour les « frais de couche » que pour les frais reliés à l’entretien de l’enfant jusqu’à maintenant..
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Née le 4 octobre 1658 à Québec. Marraine , Marguerite Rivière femme de Robert Foubert. Décédée le 20 mai 1722 à Québec. Elle a épousée Jean Amiot, le fils de Masse et Perrine Volant le 7 août 1673 à Beaupré en présence de Georges Pelletier, Julien Mercier et pierre Maufils.. Ils ont eu dix enfants, sept filles et trois garçons. Enfants: Marie-Madeleine Amiot 10 Mai 1677 Jean-Gencien Amiot Marguerite Poulin Masse Guillaume Jean-Baptiste Amiot 05 Sept 1679 21 Avr 1727 Jean-Gencien Amiot Marguerite Poulin Delisle Catherine Souet Marthe Vezina Marie-Madeleine Pierre Amiot 06 Nov 1683 03 Sept 1746 Jean-Gencien Amiot Marguerite Poulin Cadde Marie-Anne
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Enfants: Jacques Lessard 14 Mai 1681 15 Fév 1695 Etienne Lessard Marie-Anne Poulin Marie-Anne Lessard 16 Fév 1685 28 Sept 1757 Etienne Lessard Marie-Anne Poulin Racine Jean Marie-Jeanne Lessard 05 Fév 1687 Etienne Lessard Marie-Anne Poulin Racine Joseph Noel Lessard 17 Oct 1689 22 Mars 1694 Etienne Lessard Marie-Anne Poulin Etienne Lessard 19 Fév 1692 09 Déc 1749 Etienne Lessard Marie-Anne Poulin Pepin Madeleine Racine Therese Therese Lessard 03 Oct 1694 02 Déc 1749 Etienne Lessard Marie-Anne Poulin Racine Etienne Dorothee Lessard 26 Jan 1697 18 Avr 1751 Etienne Lessard Marie-Anne Poulin Caron Alexandre Ursule Lessard 01 Avr 1699 25 Mars 1763 Etienne Lessard Marie-Anne Poulin Pare Joseph Marguerite Lessard 11 Avr 1701 Etienne Lessard Marie-Anne Poulin Guyon Francois Jean Lessard 30 Août 1704 13 Avr 1756 Etienne Lessard Marie-Anne Poulin Lacroix Marie-Anne
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Enfants: Joseph Poulin 19 Juil 1690 Pierre Poulin Anne Giguere Anne-Aimee Poulin 01 Avr 1692 18 Fév 1761 Pierre Poulin Anne Giguere Boivin Charles Felicite Poulin 17 Déc 1693 Pierre Poulin Anne Giguere Pierre Poulin 05 Jan 1696 Pierre Poulin Anne Giguere Prisque Poulin 22 Déc 1696 Pierre Poulin Anne Giguere Genevieve Poulin 09 Juin 1699 05 Août 1720 Pierre Poulin Anne Giguere Pierre Poulin 24 Mai 1701 Pierre Poulin Anne Giguere Pichet Louise Louis Poulin 01 Juil 1703 01 Déc 1759 Pierre Poulin Anne Giguere Drapeau Francoise Madeleine Poulin 20 Déc 1706 1755 Pierre Poulin Anne Giguere Thibault Francois-Xavier Barthelemi Poulin 22 Sept 1708 Pierre Poulin Anne Giguere Monet Marie-Josephe Archélas Poulin - sculpteur et peintreC'est le couple Pierre Poulin et Anne Giguère qui est l'ancêtre commun à Linière Poulin dont descend le peintre et sculpteur Archelas Poulin (marié Elmire Guay)
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