Voir: Ascendants | Notes
jusqu’aux arrière-grands-parents.
1 Georges Garneau, Maire Saint-Joseph de Beauce (1898), né le 24 juillet 1854 (lundi), Laurierville, Lotbinière, QC, Canada, baptisé le 25 juillet 1854 (mardi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, mort le 28 décembre 1943 (mardi), Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, inhumé le 31 décembre 1943 (vendredi), Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada (à l’âge de 89 ans), Sellier, maire (filleul: Georges Armand Poulin 1905-1907). Parents: 2 et 3. Mariée le 26 septembre 1877 (mercredi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, avec Victorine Bergeron, née le 13 septembre 1849 (jeudi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, baptisée le 13 septembre 1849 (jeudi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, morte le 24 novembre 1878 (dimanche), Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, inhumée le 27 novembre 1878 (mercredi), Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada (à l’âge de 29 ans), Jeune fille au piano, fille de Augustin Bergeron, Capitaine de bateau sur le Saint-Laurent 1818-1905 et Marie Hermine Bourret 1820-. Mariée le 2 février 1880 (lundi), Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, avec Angélina Cliche, née le 30 mai 1861 (jeudi), Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, baptisée le 30 mai 1861 (jeudi), Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, morte le 12 mars 1897 (vendredi), Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, inhumée le 15 mars 1897 (lundi), Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada (à l’âge de 35 ans), fille de Vital Cliche 1837-1917 et Sophie Lessard 1837-1918. [Note 1].
2 Isaïe Garneau, né le 15 novembre 1825 (mardi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, baptisé le 16 novembre 1825 (mercredi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, mort le 4 septembre 1904 (dimanche), Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, inhumé le 7 septembre 1904 (mercredi), Saint-Joseph-de-Beauce, Chaudière-Appalaches, QC, Canada (à l’âge de 78 ans), Cultivateur, journalier, navigateur (selon une une source). Parents: 4 et 5. [Note 2].
... mariée le 28 janvier 1851 (mardi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, avec...
3 Rose Delima Lambert, née en 1831, assassinée le 14 juin 1866 (jeudi), Sainte-Julie-de-Somerset, Laurierville, QC, Canada, inhumée le 16 juin 1866 (samedi), Sainte-Julie-de-Somerset, Laurierville, QC, Canada (à l’âge de 35 ans). Parents: 6 et 7. [Note 3].
... dont un enfant/dont enfants:
4 Prisque Garneau, né le 1ᵉʳ février 1797 (mercredi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, mort le 11 septembre 1840 (vendredi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, inhumé le 13 septembre 1840 (dimanche), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada (à l’âge de 43 ans), Cultivateur. [Note 4].
... mariée le 14 février 1825 (lundi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, avec...
5 Julie Dubuc, née vers 1800. [Note 5].
... dont un enfant/dont enfants:
6 François Lambert, né le 20 juillet 1807 (lundi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada. [Note 6].
... mariée le 27 novembre 1827 (mardi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, avec...
7 Marie Chainé, née, Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, morte. [Note 7].
... dont un enfant/dont enfants:
8 Prisque Garneau, né le 27 mai 1771 (lundi), Neuville, QC, Canada, baptisé le 27 mai 1771 (lundi), mort le 27 août 1832 (lundi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, inhumé le 31 août 1832 (vendredi) (à l’âge de 61 ans). [Note 8].
... mariée le 7 novembre 1796 (lundi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, avec...
9 Marie Angélique Martineau, née le 7 juin 1774 (mardi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, baptisée le 8 juin 1774 (mercredi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, morte le 20 mai 1837 (samedi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, inhumée le 22 mai 1837 (lundi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada (à l’âge de 62 ans). [Note 9].
... dont un enfant/dont enfants:
10 Augustin Dubuc, né le 9 février 1768 (mardi), Neuville, Portneuf, QC, Canada, mort le 29 avril 1855 (dimanche), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada (à l’âge de 87 ans). [Note 10].
... mariée avec...
11 Josephte Proulx, née le 23 juillet 1766 (mercredi), Neuville, Portneuf, QC, Canada, morte le 23 avril 1846 (jeudi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada (à l’âge de 79 ans). [Note 11].
... dont un enfant/dont enfants:
12 Etienne Lambert, né le 20 avril 1774 (mercredi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, mort, Cultivateur. [Note 12].
... mariée le 3 octobre 1797 (mardi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, avec...
13 Marie-Geneviève Lambert, née le 5 juin 1779 (samedi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada, morte le 26 août 1820 (samedi), Saint-Antoine-de-Tilly, Chaudière-Appalaches, QC, Canada (à l’âge de 41 ans). [Note 13].
... dont un enfant/dont enfants:
1 - BiographieGeorges Garneau s’établit comme sellier¹ à Saint-Joseph-de-Beauce vers 1872 ou un peu avant. Son atelier, la sellerie était située à côté de sa maison et devint aussi une école pour apprentis-selliers. Georges Garneau occupe aussi le poste de maire de Saint-Joseph de 1898 à 1901. Il a appris son métier se sellier chez un maître sellier de la côte du Passage à Lévis. Son brevet d’apprentissage passé devant notaire mentionne qu’il était logé, nourri, lavé et raccommodé et qu’il recevait cinquante cents par mois pour ses petites dépenses². Les 5 frères et 3 soeurs de Georges émigrent tous aux Etats-Unis à partir de leur village natal à Saint-Antoine-de-Tilly dans le comté de Lotbinière. Il se mari en première noce avec Victorine Bergeron, fille du capitaine Charles Bergeron de Sainte-Croix de Lotbinière, le 26 septembre 1877. Victorine et son enfant décèdent lors de la naissance de ce dernier les 23 et 24 novembre 1878. Victorine Bergeron est la première épouse de Georges Garneau, ce mariage est célébré en 1877 à Saint-Antoine-de-Tilly. Elle décède à son premier accouchement en 1878 (circonstances non connues). Victorine a 28 ans et est instruite. En février 1880 il prend pour seconde épouse Angélina Clich fille de Vital Cliche et de Sophie Lessard. De cette deuxième union naissent12 enfants dont 5 meurent à très bas âge : Zélia, Isaï, Antoinette, Adélar et Laura. Sept vont survivre, il s'agit de Albertine (Linière Poulin, 19 naissances, 7 survivants), Antonia Garneau (Georges Légaré, 1 enfant connu), Henriette Garneau qui demeure célibataire, Louise Garneau (Philippe Légaré), Marie-Y. Garneau qui demeure célibataire, Georges Garneau (x x). Ce dernier couple engendre un fils unique, Bernard, né un jour de tempête le 27 mars 1926. En 1961 Bernard épouse à Montréal Suzanne Beaudin fille d'Antoinette Levasseur et de Elphège Beaudin de Granby, de cette union nait leur unique enfant, Micheline. On ne connait pas l'année à laquelle Georges a acquis la résidence sise rue du Pont (aujourd'hui 76 rue Martel) mais déjà en 1882 il fait signer un contrat à un jeune apprenti qui va l'assister pour les deux prochaines années. C'est quatre ans après son mariage avec Angélina Cliche et deux ans avant la naissance de son premier enfant Albertine. [On ne sait pas non plus qui à construit cette résidence et en quelle année - * cependant voir la note 3 récemment ajoutée]. A l'époque il existe une autre sellerie au village, celle de Alphonse l'Heureux [PHOTO]. L'on sait que Georges n'a pas bâti la maison, ni d'ailleurs l'atelier³ Le Fonds de Famille Georges Garneau et Angélina Cliche déposé à la Société du patrimoine des Beaucerons à Saint-Joseph illustre quelques points d'intérêts de la famille. Il contient un acte notarié (le brevet d'apprentissage de Georges à Lévis), différentes vues de St-Joseph, quelques photos de famille, un dossier de presse sur les familles royales d'Europe et des extraits des journaux du The Standard, The New York Times, La Patrie, The Star Weekly, The Montreal Daily Star, L'Événement, L'Action catholique, des affiches de la famille royale d'Angleterre, des Régates de Beauce et divers calendriers. Cependant, la plupart des photos relatives à cette famille et le commerce de la sellerie sont déposées dans les albums Photos Genepoulin - voir la section PHOTOS plus bas.
Holdup chez Georges Garneau [Le Quotidien de Lévis, 31 décembre 1934 et aussi dans le journal Le Guide de Sainte-Marie ]
Un jeune homme est actuellement détenu à la prison de Saint-Joseph de Beauce en rapport avec un hold-up qui aurait été commis à la résidence de M. Georges Garneau, sellier de l'endroit. Samedi après-midi, M. Garneau, un vénérable citoyen de 82 ans aurait vu entrer le jeune homme à qui il avait donné le logis [dans l'ancien atelier attenant sa maison] la nuit précédente. Celui-ci lui aurait intimé l'ordre d'avoir à lui remettre tout l'argent qu'il avait. Le vieillard aurait refusé et la lutte serait engagée entre les deux hommes. M. Garneau, raconte-t-on, aurait perdu connaissance, et l'intrus en aurait profité pour s'emparer de son portefeuille contenant $80. Un voisin, M. Légaré, tiré par les cris de la victime, serait arrivé sur les lieux juste au moment ou le jeune homme prenait la fuite sur la grande route. L'alarme aurait été donnée immédiatement à des employés du Palais de Justice. MM. Henri Groleau, Fernand Nadeau et A. Lesssard, se seraient alors mis à la poursuite du fugitif qu'ils auraient rejoint après une course qui dura plusieurs heures. A la Cour de Police, on aurait découvert sur le prisonnier une somme de $80 dans une de ses poches, le prévenu avait, paraît-il, huit billets de banque pliés exactement de la même façon que ceux qui se trouvaient dans le portefeuille de M. Garneau. Notice biographique colligée par la SPB apparaissant au Fonds Garneau Georges Garneau, fils d’Isaïe Garneau et de Délima Lambert, est né le 24 juillet 1854 à Sainte-Julie, aujourd’hui Laurierville, dans le comté de Lotbinière. Il s’établit à Saint-Joseph-de-Beauce comme sellier, vers 1872, après avoir appris son métier chez un maître-sellier de la côte du Passage à Lévis. Parmi ses cinq frères et trois sœurs, certains émigrent aux États-Unis. Il se marie avec Victorine Bergeron, fille du capitaine Charles Bergeron de Sainte-Croix-de-Lotbinière le 26 septembre 1877. Son épouse et son enfant meurent lors de la naissance de ce dernier les 24 et 23 septembre 1878 respectivement. Georges Garneau se remarie à Saint-Joseph avec Angélina (Marie-Angélique) Cliche de Saint-Joseph, fille de Vital Cliche à Catoche et de Sophie Lessard, le 2 février 1880. De cette union naissent treize enfants dont sept meurent en très bas âge. Survivent cinq filles et un garçon. Georges Garneau est conseiller, puis maire de Saint-Joseph de 1898 à 1901. Il décède le 28 décembre 1943, à quatre-vingt-neuf ans. Georges Garneau fils est né en 1894. Il étudie à l’Université Laval et devient arpenteur. Il fait de l’arpentage en Abitibi, à Maria en Gaspésie et au Saguenay–Lac-Saint-Jean. Il épouse Cécile Lessard le 15 janvier 1924, fille d’Eleucippe Lessard, commerçant de bois et d’Eugénie Paradis, enseignante et organiste de Saint-Joseph. Leur fils, Bernard, naît le 15 janvier 1924. Bernard Garneau étudie aux couvents de Saint-Joseph et de Vallée-Jonction. De 1939 à 1945, il fréquente le collège de Sainte-Marie où il termine sa dixième année commerciale. Il étudie un an à l’Académie de Québec, au cours scientifique, et deux ans à l’école Ouellet, au cours préparatoire à l’université. Il complète sa formation par trois ans à l’École de papeterie de Trois-Rivières. Bernard Garneau travaille chez Les Papiers Rolland de Saint-Jérôme, au contrôle de la qualité. Il est technicien en traitement thermique à Sorel Industries et dessinateur à Marine Industries. En 1956, il se fait policier à la Gendarmerie royale du Canada. Il est affecté à Rivière-du-Loup, Québec, Knowlton en Estrie et Ottawa où il devient expert en empreintes digitales et en photographie judiciaire. Il occupe ce poste durant six ans. Il œuvre en expertise d’écriture. Il travaille un an à Montréal et cinq ans à Québec. Il quitte la Gendarmerie royale du Canada en 1969. Il devient officier de sécurité et enquêteur pour les fraudes et vols à la Banque canadienne nationale. Il prend sa retraite en 1982. Il est chargé de l’inspection des analyses à l’Hippodrome de Québec. Il a épousé Suzanne Beaudin de Granby le 24 avril 1961. Le couple a une fille et s’est installé à Saint-Nicolas, comté de Lévis en 1974.
2 - Livres comptables de la SelleriePar ailleurs, Georges a laissé tous ses livres comptable 'les Grands Livres' comme on disait dans lesquels sont inscrites toutes les transactions de son commerce, de environs de 1878 à 1943. Ce sont tous ses clients, plusieurs centaines du village et des environs, leurs achats avec détails, crédits, paiements, mauvaises créances et autres notes qui y apparaissent, ainsi que toutes les traites faites à la banque locale (varie selon les décennies). Un extrait de ces livres est montré ci-après, au total ce sont plusieurs centaines de pages en ordre chronologique dont un Index (2e photo) qui affiche plus de 1800 clients du commerce.
3 - Recensement
Au recensement de 1891, sont résidents/inscrits à la même demeure rue Martel:
Acte de mariage Georges Garneau & Victorine Bergeron, 1877, St-Joseph de Beauce.
Acte de mariage Georges Garneau & Angelina Cliche, 1880, St-Joseph de Beauce.
4 - Albums Photos
Dans ces albums, les titres précédés d'un * indiquent une description ou commentaire de la photo.
Note - Information sur Georges trouvée sur le Portail des Archives de la Beauce - à valider et intégrer au texte actuel: Georges Garneau, fils d'Isaïe Garneau et de Délima Lambert, est né le 24 juillet 1854 à Sainte-Julie, aujourd'hui Laurierville, dans le comté de Lotbinière. Il s'établit à Saint-Joseph-de-Beauce comme sellier, vers 1872, après avoir appris son métier chez un maître-sellier de la Côte du Passage à Lévis. Parmi ses cinq frères et trois soeurs, certains émigrent aux États-Unis. Il se marie avec Victorine Bergeron, fille du capitaine Charles Bergeron de Sainte-Croix-de-Lotbinière le 26 septembre 1877. Son épouse et son enfant meurent lors de la naissance de ce dernier les 24 et 23 septembre 1878 respectivement. Georges Garneau se remarie à Saint-Joseph avec Angélina (Marie-Angélique) Cliche de Saint-Joseph, fille de Vital Cliche à Catoche et de Sophie Lessard, le 2 février 1880. De cette union naissent treize enfants dont sept meurent en très bas âge. Survivent cinq filles et un garçon. Georges Garneau est conseiller, puis maire de Saint-Joseph de 1898 à 1901. Il décède le 28 décembre 1943, à quatre-vingt-neuf ans, jusqu'à ce moment il est considéré comme le doyen de la municipalité. Il aura exercé son métier de sellier durant 65 ans. Georges Garneau fils est né en 1894. Il étudie à l'Université Laval et devient arpenteur. Il fait de l'arpentage en Abitibi, à Maria en Gaspésie et au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Le palais de justice de Saint-Joseph conserve la partie de son greffe d'arpenteur qui va du 26 juin 1919 au 19 juillet 1929. Il épouse Cécile Lessard le 15 janvier 1924, fille d'Eleucippe Lessard, commerçant de bois et d'Eugénie Paradis, enseignante et organiste de Saint-Joseph. Leur naît un fils, Bernard, le 15 janvier 1924. Bernard Garneau étudie aux couvents de Saint-Joseph et de Vallée-Jonction. De 1939 à 1945, il fréquente le collège de Sainte-Marie où il termine sa dixième année commerciale. Il étudie un an à l'Académie de Québec, au cours scientifique, et deux ans à l'école Ouellet, au cours préparatoire à l'université. Il complète sa formation par trois ans à l'École de papeterie de Trois-Rivières. Bernard Garneau travaille chez Les Papiers Rolland de Saint-Jérôme, au contrôle de la qualité. Il est technicien en traitement thermique à Sorel Industries et dessinateur à Marine Industries. En 1956, il se fait policier à la Gendarmerie royale du Canada. Il est affecté à Rivière-du-Loup, Québec, Knowlton en Estrie et Ottawa où il devient expert en empreintes digitales et en photographie judiciaire. Il occupe ce poste durant six ans. Il oeuvre en expertise d'écriture. Il travaille un an à Montréal et cinq ans à Québec. Il quitte la Gendarmerie royale du Canada en 1969. Il devient officier de sécurité et enquêteur pour les fraudes et vols à la Banque canadienne nationale. Il prend sa retraite en 1982. Il est chargé de l'inspection des analyses à l'Hippodrome de Québec. Il a épousé Suzanne Beaudin de Granby le 24 avril 1961. Le couple a une fille et s'est installé à Saint-Nicolas, comté de Lévis en 1974.
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Sur la photo Isaïe est le troisième à gauche. Au moment du premier mariage de son fils Georges en 1877 il se déclare journalier, sa résidence est alors St. Johnsbury, comté de Caledonia au Vermont, de même que pour son épouse (alors décédée). (Source: Acte original de mariage de Georges Garneau et Julie Hermine Victorine Bergeron).
Aucune information sur la famille, frères et soeurs mais par contre une photo qui date de 1873 environ parue dans l'Album Photo .. Par ailleurs, lors du recensement de 1891, Georges habitait avec sa conjointe Angélina Cliche, son père Isaie Garneau, ses enfants et 3 autres personnes qui pourraient être ses frères: Rodolphe (22 ans), Camille (18 ans) et Edmond (15 ans)... (info obtenue de Danielle Robinson) A propos du lieu de résidence de Isaï au Vermont lors du mariage de son fils Georges en 1877 on peut lire ce texte qui relate la présence de nombreux canadiens français dans cette région: The Advertiser goes on to cite St. Johnsbury’s local paper – no doubt the reason The Caledonian reprinted the piece. Continues the Advertiser, The following quotation from the St. Johnsbury (Vt.) Caledonian will prove interesting…"The French Canadians," [The Caledonian] says, "are coming into Vermont in great numbers. They already own a good share of the farms in the northern tier of counties and are filling the manufacturing towns with operatives of both sexes, and laborers in all departments of industry and trade. When it is known that in a place no larger than St. Johnsbury (which had but 5800 inhabitants in 1880), the parish priest numbers his parish at between 1900 and 2000 souls, the increase of the Canadian element into Vermont begins to be appreciated." Now, what is said of Vermont is true also of Massachusetts and other New England states. It is believed to be true, also, that the Roman church is encouraging the emigration, and encouraging also the French determination to remain French. There is danger in this. We do not want a nation within a nation. We want no man here who is not, potentially at least an American. If immigrants won't sing Yankee Doodle, they must be made to sing it. With mature French-Canadians probably nothing can be done ; with the children something is possible. If we wish not to have an alien and connected body among us, armed with great power by a ballot which they will use, if at all, to further their own interests and not those of their adopted country, we must have a stringent school law, and moreover enforce it well. Source: French North America. Blog by David Vermette .
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POur compléter la lignée Lambert jusqu'à l'arrivé de l'ancêtre en Nlle-France : https://www.nosorigines.qc.ca/GenealogieQuebec.aspx?genealogie=Lambert_Nazaire&pid=1529748
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A immigré aux États-Unis (Nouvelle-Angleterre).
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A immigré aux États-Unis (Nouvelle-Angleterre). Au moment du mariage de Marie Joséphine en 1888, sa mère est décédée et son père Isaï habite Saint-Joseph (fiche de mariage BSM 2000).
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A immigré aux États-Unis (Nouvelle-Angleterre). Père de 7 enfants : George, Edmond, Albert, Mary, Jeanne (Jane), Angelina et Alma. (source famille Garneau - mentionné à l'endos de la photo de Noël Garneau) .
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A immigré aux États-Unis (Nouvelle-Angleterre).
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A immigré aux États-Unis (Nouvelle-Angleterre).
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A immigré aux États-Unis (Nouvelle-Angleterre).
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A immigré aux États-Unis (Nouvelle-Angleterre).
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A immigré aux États-Unis (Nouvelle-Angleterre).
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A immigré aux États-Unis (Nouvelle-Angleterre).
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Information temporaire - à valider - parce que c'est le seul Prisque Garneau de cette époque vivant à St-Antoine-de-Tilly qui aurait épousé une dénommée Dubuc (Julie ou Juliette). Un texte dit: Prisque Garneau Maj. et cel. Cult. RES: St-Ant.-de-Tilly. Mariage St-Antoine-de-Tilly 1825-02-14. Raby, ptre. (Registre, M. 10, 8e f.) AVEC: Julie Dubuc. Maj. et cel. RES: St-Ant.-de-Tilly. Fille de Augustin Dubuc et M.-Josephe Proulx. Fils de Prisque Garneau et Marie-Angelique Martineau.
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Julie ou Juliette?
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La photo jointe pour Nazaire est une reproduction du verso de celle de son épouse Emma Noël. On y trouve une note: Emma (Noël) Lambert, femme de Nazaire Lambert, mère du colonel Léon Lambert (St-Antoine de Tilly) organiste. Nazaire Lambert, frère de la femme de Isaï Garneau, Délima (morte jeune, 7 ou 8 enfants).
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